Valentin Rongier s’en est allé du FC Nantes à l’ OM à l’issue d’une opération rendue inutilement difficile du fait de Jacques-Henri Eyraud et de Waldermar Kita. C’est bien ce qu’il faudrait retenir des confidences du représentant du joueur sur RMC Sport.
OM, FC Nantes : le dossier Rongier plombé par l’ego surdimensionné d’ Eyraud et de Kita
Le représentant de Valentin Rongier a commencé par déplorer d’avoir « eu affaire a deux présidents opiniâtres, décidés, avec pas mal d’égo aussi ».
Valentin Rongier n’a finalement été recruté qu’en tant que joker, à cause du remis par les responsables de l’ OM pour ouvrir les négociations.
« J’ai tendance à préciser que les négociations n’ont vraiment commencé que jeudi dernier, dont cinq jours avant la fin du mercato, c’est peut-être aussi ce qui a choqué le FC Nantes », a indiqué Franck Belhassen avant de rappeler : « Parce qu’il y a eu le départ de Luiz Gustavo qui a précipité les choses. »
Enfin, si Waldemar Kita avait tenu à respecter sa parole donnée trois ans plutôt, le départ du milieu de terrain à l’ OM n’aurait pas été si compliqué.
« Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a trois ans, Valentin a prolongé son contrat au FC Nantes. Lors de cette prolongation, Waldemar Kita lui avait promis qu’il pourrait partir, un an, deux ans ou trois ans après, lorsqu’il aurait trouvé un challenge qui l’intéressait et qu’il ne pinaillerait pas pour quelques millions d’euros », a révélé le porte-parole de Valentin Rongier.
C’est vrai que la fidélité à la parole donnée est une qualité très rare parmi les hommes…