Le Stade Rennais attend toujours la décision de son milieu de terrain Eduardo Camavinga, annoncé proche du PSG. Pour éviter toute surprise de dernière minute, Bruno Genesio, l’entraîneur du club breton, cherche déjà à assurer ses arrières.
Eduardo Camavinga au PSG cette saison ?
D’après les informations du quotidien Le Parisien, Eduardo Camavinga, qui refuse de prolonger son contrat qui expire en 2022, pourrait très bien quitter le Stade Rennais pour s’engager avec le Paris Saint-Germain dans les derniers instants du mercato estival. « Les négociations ont été ouvertes il y a plusieurs mois entre les deux parties et Paris a au moins deux atouts dans sa manche : l’international français de 18 ans rêve de rejoindre le club de la capitale et comme il ne souhaite pas prolonger en Bretagne », explique le journal régional.
Leonardo, le directeur sportif du club parisien, et son homologue rennais Florian Maurice pourraient conclure l’opération autour de 30 millions d’euros. Conscients du possible départ de Camavinga, les dirigeants du SRFC s’activent déjà pour tenter de mettre la main sur son éventuel successeur. Et Bruno Genesio vise gros.
Rennes cherche un remplaçant à Eduardo Camavinga
En effet, le journaliste Ignazio Genuardi a révélé ces dernières heures que malgré l’arrivée déjà acquise de Lovro Majer en provenance du Dinamo Zagreb pour 15 millions d’euros bonus compris, le Stade Rennais vise également le milieu de terrain de l’AZ Alkmaar, Teun Koopmeiners. Sous contrat jusqu’en 2023, l’international néerlandais était annoncé du côté de l’Atalanta Bergame, mais le club italien peine à boucler le dossier. Florian Maurice a donc entamé des négociations avec les dirigeants du club hollandais pour le milieu de terrain polyvalent et prometteur de 23 ans.
Capable d’évoluer devant la défense, Teun Koopmeiners peut également jouer en défense centrale. Le profil parfait pour succéder éventuellement à Eduardo Camavinga. Mais l’affaire est encore loin d’être gagnée puisque l’AZ Alkmaar réclame entre 18 et 20 millions d’euros pour laisser partir son joueur. Les Bretons sont donc prévenus.