L’ OM s’est considérablement renforcé durant ce mercato avec l’arrivée de dix nouveaux joueurs, mais Jorge Sampaoli en réclame encore. La prochaine cible hivernale de l’entraîneur marseillais serait même déjà identifiée.
Mercato OM : Sampaoli ne lâche pas l’affaire pour Nzonzi
Malgré Valentin Rongier, Boubacar Kamara, Mattéo Guendouzi, Gerson ou encore Pape Gueye, le coach de l’Olympique de Marseille aimerait attirer un nouveau milieu de terrain lors de la période de recrutement de janvier 2022. Et d’après les informations relayées ces dernières heures par le média Futbol Frances, Jorge Sampaoli insiste auprès de sa direction pour enrôler Steven Nzonzi.
Après l’avoir eu sous ses ordres de 2016 à 2017 au FC Séville, l’entraîneur argentin aimerait travailler de nouveau avec l’international tricolore de 32 ans. Suite à une première tentative manquée cet été, le patron du banc olympien veut tenter sa chance cet hiver. Le média espagnol révèle d’ailleurs que Pablo Longoria était aussi partant pour faire venir l’ancien milieu de terrain du Stade Rennais, mais les départs avortés de Boubacar Kamara et Caleta-Car ont fait capoter les plans du président de l’ OM. Absent des plans de José Mourinho à l’AS Rome, Steven Nzonzi va probablement changer d’air cet hiver puisqu’il ne lui restera plus que six mois de contrat à cette période. Mais l’OM n’est pas le seul club intéressé.
Steven Nzonzi également visé par le LOSC
Selon le site sportif, le club italien réclame 1,5 million d’euros pour laisser partir le natif de Colombes. Une somme raisonnable puisque Steven Nzonzi ne joue presque plus. L’Olympique de Marseille devra toutefois compter avec la concurrence du LOSC. À la recherche d’un nouvel élément pour solidifier son entrejeu, Jocelyn Gourvennec serait lui aussi intéressé par le profil du champion du monde 2018. Et l’opération pourrait être facilitée par le fait que le président du LOSC, Olivier Létang, connaît le joueur puisqu’il l’a fait venir au Stade Rennais lorsqu’il était aux affaires en Bretagne. L’OM est donc prévenu.