Lanterne rouge après huit journées de Championnat, l’ ASSE envisagerait déjà un licenciement de son entraîneur Claude Puel. Mais aux dernières nouvelles, l’affaire serait loin d’être aussi facile pour les Verts.
Claude Puel n’y arrive plus sur le banc
Bon dernier de Ligue 1, l’AS Saint-Étienne n’a pas encore gagné un seul match depuis le début de saison. Pire, Claude Puel et ses hommes restent sur une série noire de 5 défaites consécutives en championnat avec 17 buts encaissés et 7 marqués. Une spirale négative qui pourrait bien être fatale à Claude Puel, notamment en cas de défaite dimanche prochain lors du derby face à l’Olympique Lyonnais. En effet, selon plusieurs sources proches des Verts, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo envisagent de nommer prochainement un nouvel entraîneur afin de sauver la vente du club.
Les potentiels acquéreurs étant refroidis à l’heure actuelle par le spectre d’une relégation de l’AS Saint-Étienne. Une possible éviction de Claude Puel qui pourrait donc être bénéfique pour le club ligérien. Selon les indiscrétions de But, le nom de Laurent Huard, actuellement directeur du centre de formation de l’ASSE, pourrait être une solution interne viable. Mais une autre piste plantait également à Roland Romeyer.
En effet, selon le média sportif, le président du comité du directoire de Sainté serait séduit par le profil de David Guion. Libre de tout contrat depuis la fin de son contrat avec le Stade de Reims cet été, l’entraîneur français pourrait revenir dans le Forez, où il a été officié en tant qu’entraîneur adjoint de Laurent Roussey (salarié de 2003 à 2008). Oui, mais il faudrait déjà que Romeyer et Caïazzo aient les coudées franches pour assumer un licenciement du technicien de 60 ans.
Mercato ASSE : Claude Puel beaucoup trop cher à virer ?
D’après les informations relayées ces dernières heures par RMC Sport, la direction actuelle de l’AS Saint-Étienne n’aurait pas encore entrepris de démarche concrète dans le sens d’un licenciement de Claude Puel. Sous contrat jusqu’au 30 juin 2022, l’ancien coach de l’Olympique Lyonnais et de l’OGC Nice notamment, perçoit mensuellement 225.000 euros à Saint-Étienne. Son licenciement aura donc un coût que la situation financière du club ne permet pas d’assumer.