L’ OM ne compte plus vraiment sur Alvaro Gonzalez. Les dirigeants marseillais envisageraient même de prendre une terrible décision pour son défenseur.
OM Mercato : Marseille prêt à résilier le contrat d’Alvaro ?
Bien installé en défense lors de ses deux premières saisons à l’ Olympique de Marseille, Alvaro Gonzalez vit désormais un véritable cauchemar au sein du club marseillais. Le défenseur espagnol ne rentre pas dans les plans de l’entraîneur Jorge Sampaoli, qui préfère miser sur d’autres options pour composer sa charnière défensive. Et l’arrivée de Séad Kolasinac ne joue pas en sa faveur.
Relégué sur le banc de touche, Alvaro Gonzalez est poussé vers la porte de sortie. Le président Pablo Longoria a même récemment notifié à la presse que l’ancien défenseur de Villarreal avait intérêt à se trouver un nouveau club s’il souhaitait bénéficier de plus de temps de jeu en seconde partie de saison. Cette sortie du président de l’ OM n’est pas passée.
Plusieurs prétendants, tels que les Girondins de Bordeaux, le RC Strasbourg, Levante ou encore Valence, sont passés à l’action cet hiver en vue de boucler son transfert. De son côté, la direction de l’Olympique de Marseille était prête à faciliter son départ. D’ailleurs, l’ OM envisageait de résilier le contrat de son défenseur Alvaro Gonzalez, qui expire en juin 2024.
OM Mercato : Alvaro Gonzalez s’accroche à son contrat
Il faut dire que le salaire de l’Espagnol, estimé à 2 millions d’euros par an pour un joueur qui n’enfile que très rarement le maillot Ciel et Blanc, reste un poids pour les finances fragiles de l’ OM. C’est pourquoi les dirigeants marseillais souhaitaient à tout prix se débarrasser de lui. Mais c’était sans compter sur la volonté du principal concerné.
Lié à l’ Olympique de Marseille jusqu’en juin 2024, Alvaro Gonzalez semble peu enclin à quitter le club. Plutôt que d’aller tenter sa chance sous d’autres cieux, le joueur de 32 ans reste motivé et déterminé à retrouver sa place dans le onze de départ marseillais. Il devrait donc terminer la saison en cours à Marseille, avant de changer d’air l’été prochain.