La vraie raison de l’absence de Jérôme Boateng du groupe de l’ OL pour affronter l’OGC Nice, samedi (21h), est désormais connue.
OL : Boateng écarté pour ses écarts de comportement !
Pourquoi Jérôme Boateng a été écarté du groupe de l’ OL contre l’OGC Nice ? C’est la grosse interrogation depuis la publication de la liste de 21 joueurs convoqués par Peter Bosz pour la réception du Gym au Groupama Stadium. Le coach des Gones n’avait pas donné d’explication sur l’absence du défenseur dans son groupe. Pourtant, il n’est ni blessé ni suspendu ! Les premières informations justifiaient l’absence de la recrue estivale par un choix fort fort de l’entraineur de l’Olympique Lyonnais, suite à son match catastrophique, sur le plan individuel, lors de la défaite face à l’AS Monaco (2-0) dimanche dernier.
Ce samedi, quelques heures avant le match décisif de l’ OL contre les Aiglons, L’Équipe croit savoir que l’ancien joueur du Bayern Munich paye le prix de « ses excès de nervosité », parfois envers ses coéquipiers, agacés. « Il est très nerveux et il se prend la tête avec tout le monde », a témoigné un proche du groupe lyonnais dans le quotidien sportif.
Des altercations entre l’Allemand et des coéquipiers
Pour justifier la tension entre l’international allemand et ses partenaires, la source évoque une bagarre avec Bruno Guimarães, à l’entraînement, il y a quelques semaines. « Boateng en était venu aux mains en pleine séance avec le Brésilien, car il n’avait pas apprécié une remarque. La bagarre avait dû être interrompue par plusieurs personnes », révèle la source. « À Rennes, le 7 novembre, il avait hurlé sur son capitaine Léo Dubois en plein match, et les caméras de télévision n’avaient rien raté de cet échange très virulent. Après la déroute de l’ OL en Bretagne (1-4), il s’en était pris dans le vestiaire à Rayan Cherki (18 ans), et les deux hommes avaient dû être séparés », d’après le journal.
Assez d’exemples qui justifient évidemment la décision de Peter Bosz, surtout que le défenseur de 33 ans n’est pas aussi performant sur le terrain pour se faire passer pour le donneur de leçon dans le vestiaire des Gones.