Recrue estivale de l’ ESTAC, Adil Rami a reçu une bonne nouvelle, vendredi. Son ancien club, Boavista, a été condamné à lui verser un petit pactole.
ESTAC : Adil Rami en difficulté en Ligue 1 avec l’ES Troyes AC
Adil Rami a signé à l’ ESTAC librement, le 24 aout 2021, après son départ de Boavista (Portugal). Il s’est engagé avec le club aubois pour deux saisons, jusqu’en juin 2023. En 13 apparitions en Ligue 1, il a été titulaire 12 fois et a marqué 3 buts. Le défenseur de 36 ans tente tant bien que mal d’apporter son expérience du haut niveau au promu. Cependant, son apport n’est pas suffisant. L’ES Troyes AC est 16e au classement avec 25 points et menacé de relégation en deuxième division. Adil Rami et ses coéquipiers ont seulement 3 points de plus que les deux clubs relégables après 27 journées de championnat : le FC Metz (19e) et Bordeaux (20e). Cela, avant leur match contre le FC Nantes (6e), samedi (21h) au stade de l’Aube.
Boavista condamné à verser 200 000 € à Rami
En revanche, le champion du monde peut se réjouir d’une bonne nouvelle, tombée ce vendredi, le concernant individuellement. Selon les indiscrétions de RMC Sport, la FIFA lui a donné raison dans le litige qui l’oppose à son ancien club, le Boavista. D’après la source, le club portugais appartenant à Gérard Lopez, par ailleurs président de Bordeaux en Ligue 1, a été condamné à verser 200 000 euros à Adil Rami. Ce dernier avait résilié son contrat à l’amiable avec le club de l’élite portugaise, fin juillet 2021. Mais depuis son arrivée à l’ ESTAC, il n’a pas touché la somme promise. L’ancien joueur du LOSC et de l’OM a joué avec Bosavista une seule saison (2020-2021). Convaincu par Luis Campos (ex-bras droit de Gérard Lopez), il avait pourtant signé un contrat de deux ans.