Longtemps sur les tablettes de l’ OM, Amine Adli a fini par rejoindre la Bundesliga. Un choix justifié par l’ancien Toulousain.
L’ OM doublé par le Bayer pour Amine Adli
S’il a aligné les signatures durant le mercato d’été, Pablo Longoria a également connu quelques échecs. Le président de l’Olympique de Marseille était un vieil admirateur d’Amine Adli. L’ailier droit, élu meilleur joueur de Ligue 2 de la saison 2020-2021, était annoncé proche de l’ OM. Certaines sources révélaient même que le président marseillais et l’ancien pensionnaire du Toulouse FC s’étaient rencontrés à quelques reprises. Le dirigeant olympien souhaitait notamment boucler la signature d’Adli à l’hiver 2021. Mais le montant exigé par le Téfécé avait refroidi le responsable marseillais. Lequel espérait tout de même avoir une chance l’été dernier, lorsqu’il ne restait qu’une seule année de contrat au crack de Ligue 2. Mais le Bayer Leverkusen a fini par rafler la mise.
Les dessous de la signature d’Adli à Leverkusen
Le Bayer Leverkusen a à peine claqué 7,5 millions d’euros pour boucler le transfert d’Amine Adli. L’attaquant de 21 ans s’est engagé avec le club allemand pour cinq saisons, soit jusqu’en 2026. Dans un entretien à L’Équipe, l’ancien Pitchoun a justifié son transfert chez les Allemands. Il indique notamment que son choix a été dicté par sa volonté de retrouver du temps de jeu. Après la non-prolongation de son contrat au Téfécé, il a été mis à l’écart pour les matchs du club de la Ville rose.
Il était donc question pour lui de rejoindre un club qui lui garantirait un temps de jeu considérable. Chose que ni l’Olympique de Marseille, ni l’AC Milan, un autre de ses prétendants, n’auraient pas été en mesure de lui offrir. « C’est un club de haut niveau de Bundesliga, qui joue l’Europe, qui fait énormément confiance aux jeunes. Dans ma réflexion, c’était clair : tu n’es réellement heureux que quand tu joues. Être dans un grand club, faire les séances avec de grands joueurs, tu apprends, mais après, la réalité, un footballeur a besoin de jouer », explique-t-il.