ASSE : Contrairement aux récentes informations, l’Américain David Blitzer n’aurait pas renoncé au rachat de l’AS Saint-Étienne.
ASSE : Fin des négociations entre Sainté et David Blitzer ?
Nouveau rebondissement dans le dossier de vente de l’AS Saint-Étienne. L’AFP a révélé ces dernières heures que les négociations entamées avec David Blitzer avaient échouées. « La période de négociation exclusive, qui avait débuté voici 45 jours, a pris fin à minuit dans la nuit de jeudi à vendredi sans aboutir à un accord […] Elle n’a pas été prolongée », a indiqué l’agence. La source a révélé que si les discussions avec l’homme d’affaires américain avaient avorté, la vente de Saint-Étienne reste d’actualité. Le club devrait d’ailleurs prochainement communiqué sur le sujet. « Le processus de vente se poursuit, le club communiquera sur ce sujet lundi », a assuré une source du club à l’agence. Seulement, pour Le Progrès, David Blitzer n’a pas renoncé à l’acquisition des Verts.
La réponse de Romeyer et Caïazzo toujours attendue
Selon le journal régional, David Blitzer attendrait toujours une réponse de Roland Romeyer et Bernard Caïazzo, les co-présidents stéphanois. Suite à la relégation de l’AS Saint-Étienne, l’entrepreneur américain a revu son offre de rachat à la baisse. L’Équipe révélait qu’il ne proposerait plus que 40 millions d’euros, dont 19 millions pour l’acquisition des parts sociales du club ligérien. Une dernière proposition à laquelle les dirigeants stéphanois n’auraient donc pas donné suite. Néanmoins, David Blitzer attendrait une réponse du duo Caïazzo-Romeyer. Il serait même enclin à étudier une contre-proposition selon la publication régionale.
Autant dire que ce feuilleton semble encore loin de son épilogue. De quoi courroucer les supporters stéphanois qui attendent du changement à la tête de leur club depuis plusieurs saisons. Les Green Angels et les Magic Fans ont d’ailleurs adressé un message à la direction vendredi. « Nouveau maillot, nouveau logo, nouvel entraîneur. A quand un repreneur ? », ont-ils entre autres écrit sur des banderoles déployées aux abords de Geoffroy-Guichard.