Waldemar Kita, le dirigeant du FC Nantes, 15e de Ligue 1, pourrait encaisser un joli chèque sur le marché des transferts dans les mois à venir.
Arrivé libre en provenance du FC Nantes lors du dernier mercato estival, Randal Kolo Muani a vu sa cote exploser suite à sa première partie de saison avec l’Eintracht Francfort. Une situation dont pourraient profiter les dirigeants allemands qui espèrent tirer un gros chèque. Parti libre du FC Nantes l’été dernier en direction de l’Eintracht Francfort, Randal Kolo Muani réalise un début de saison canon. Auteur de 8 buts et 11 passes décisives en 25 matches toutes compétitions confondues, l’attaquant de 23 ans attire déjà les convoitises de plusieurs grands clubs européens.
Présent dans le groupe de Didier Deschamps pour la Coupe du monde 2022 au Qatar, l’international français pourrait faire l’objet d’un gros transfert lors du mercato estival prochain. Surtout que son nom serait sur les tablettes des dirigeants de Manchester United en vue de la succession de Cristiano Ronaldo avec qui le club anglais a rompu à l’amiable il y a quelques jours. Une opération d’envergure qui devrait également profiter énormément au FC Nantes.
FC Nantes Mercato : Kolo Muani pourrait rapporter gros aux Canaris
Malgré un contrat courant jusqu’en juin 2027, Randal Kolo Muani pourrait ne pas faire de vieux os sous les couleurs de l’Eintracht Francfort. Cependant, l’objectif des dirigeants du club allemand serait de convaincre le natif de Bondy de rester encore un an de plus avant de partir. En effet, selon les informations du média Sport Bild, les décideurs de la formation de Kevin Trapp évalueraient désormais leur buteur français à au moins 60 millions d’euros.
Une belle somme qui pourrait même grimper jusqu’à 80 millions d’euros si d’autres cadors de Premier League se mettent à lorgner en direction de l’ancienne pépite des Canaris. Et selon une indemnité de transfert instaurée par la FIFA, le FC Nantes, club formateur de Kolo Muani, devrait percevoir 3,25% du montant de son éventuel transfert. Waldemar Kita et les dirigeants nantais peuvent donc déjà se frotter les mains.