En quête de renfort offensif pour l’hiver, l’ ASSE aurait coché le nom d’un crack en National. Son club a calmé le jeu pour son avenir.
Comme l’indique Le Progrès, l’AS Saint-Étienne entend profiter de la prochaine période des transferts pour se renforcer. Le club ligérien attend des renforts pour sortir de sa mauvaise passe. À la trêve l’ASSE ne pointe qu’à la dernière place de Ligue 2 et est partie pour de nouveau lutter pour le maintien dans l’antichambre de l’élite. La publication régionale croit savoir que les Verts attendent au moins quatre renforts cet hiver, dont un joker médical pour sortir de la zone rouge dans l’immédiat. Le club ligérien espère notamment un nouvel élément offensif. Le nom d’Amine Boutrah se retrouve ainsi associé à la lanterne rouge de deuxième division. Âgé de 22 ans, le milieu offensif évolue à l’US Concarneau, actuel leader de National. Avec ses sept réalisations et cinq passes décisives, Boutrah n’est pas étranger à la réussite de Concarneau.
ASSE Mercato : Les Verts refroidis sur la piste Amine Boutrah
En dehors de ses prouesses, le jeune milieu de National se trouve dans une situation contractuelle fort avantageuse. Recruté par Concarneau en 2021, son contrat arrive à expiration l’été prochain. L’AS Saint-Étienne peut donc espérer le recruter à un coût abordable cet hiver. Si sa situation demeure inchangée entre temps, le milieu offensif pourrait discuter dès janvier avec le club de son choix afin de le rejoindre en tant qu’agent libre au terme de la saison. Une situation qui priverait alors Concarneau d’un joli chèque.
Sauf que côté du pensionnaire de National, cette possibilité semble écartée. Président de Concarneau, Jacques Pirio a jeté un froid dans ce dossier. S’il reconnaît que son poulain suscite de l’intérêt, il révèle qu’il « n’y a aucun contact ». Une tendance également confirmée par le coach de Concarneau. « On est habitués. L’an passé, c’était le cas avec Donatien Gomis et Fahd El Khoumisti. L’année d’avant avec Peter Ouanneh. Il y a un contrat. On ne va pas s’affoler avec ça », a souligné Stéphane Le Mignan cité par Le Télégramme.