Avant d’entamer la 2e partie de la saison, Kombouaré, coach du FC Nantes, a fait connaitre sa décision sur l’intégration des jeunes joueurs dans son équipe.
Quinzième de Ligue 1, le FC Nantes attend de nouveaux joueurs en renfort, en janvier, pour mieux aborder la deuxième moitié de la saison. Les Canaris ont encore 23 journées pour remonter au classement et tendre vers leur objectif de la saison, à savoir une place dans le top 5 du championnat. La tâche reste difficile pour le FCN qui ne joue pas que la Ligue 1. L’équipe d’Antoine Kombouaré est aussi engagée en coupe d’Europe. Elle est qualifiée pour les 16es de finale de la Ligue Europa et affrontera doublement la Juventus, les 16 et 23 février, respectivement à Turin (aller), puis au stade de la Beaujoire (retour).
Avant le rendez-vous européen, le FC Nantes entrera en compétition en Coupe de France (32es de finale) le 7 janvier, face à Viré ou au SM Caen. Pour bien figurer les trois compétitions, il n’y a aucun doute que les Nantais ont besoin de renforcer leur effectif actuel. Leur entraineur l’a confirmé en conférence de presse : « On travaille, on regarde à tous les postes ». « Les solutions sont souvent à l’intérieur du groupe », a-t-il poursuivi.
FC Nantes : Kombouaré ne compte pas sur les jeunes joueurs de la réserve du FCN
Toutefois, Antoine Kombouaré ne compte pas intégrer les jeunes joueurs de la réserve dans son équipe, en difficulté en Ligue 1 et engagée en Ligue Europa. Il l’a clairement indiqué à l’issue du stage de préparation du FC Nantes au Portugal. « Ce sont de très bons jeunes dans leur génération, mais pour jouer aujourd’hui en équipe première, c’est un peu plus compliqué pour eux. Le problème est que le niveau qu’on demande aujourd’hui pour évoluer dans cette équipe première du FCN est élevé. Il faut jouer la Coupe d’Europe avec des matchs compliqués et surtout en championnat, on est 16es. Il faut avoir cette capacité à gérer cette pression. Dans des matchs avec de gros enjeux. Et puis, la concurrence est forte », a expliqué le technicien kanak, avant de finir sur une note d’espoir : « à partir de février-mars, ça ira beaucoup mieux pour eux (les jeunes). »