Véritable taulier du Montpellier HSC, le milieu de terrain Téji Savanier pourrait quitter la France cet hiver pour rejoindre Cristiano Ronaldo.
Buteur contre Lorient et l’Olympique de Marseille lors des deux dernières journées de Ligue 1, Téji Savanier affiche une forme étincelante sous les couleurs du Montpellier HSC. Très attaché au club héraultais, où il joue depuis 2019, l’ancien Nîmois fait logiquement parler de lui sur le marché des transferts, avec plusieurs écuries européennes qui le suivent avec intérêt. Si des équipes de Premier League ont plusieurs fois approché le MHSC pour attirer le milieu de terrain, ce dernier a toujours souhaité poursuivre dans le Sud de la France et ce, malgré une situation sportive parfois délicate.
Cet hiver, Téji Savannier aurait reçu les avances d’un club pour le moins atypique, bien loin du championnat hexagonal. Comme le révèle l’insider Mohamed Toubache-Ter sur twitter ce mardi, l’équipe d’Al-Nassr aurait coché le nom du n°10 montpelliérain pour 2023. Un intérêt bien réel du club saoudien qui penserait donc à associer l’international français olympique au quintuple Ballon d’Or Cristiano Ronaldo, récemment recruté par la formation de Rudi Garcia. Un intérêt qui pourrait prochainement se traduire par une offre importante des Saoudiens pour le capitaine héraultais.
Montpellier HSC : Téji Savanier pense déjà aux JO 2024 à Paris
Leader de l’équipe formée par Sylvain Ripoll lors des Jeux Olympiques de Tokyo (2021), Téji Savanier a confié début janvier vouloir retenter l’expérience en 2024. « C’est à Paris, c’est en France, c’est l’équipe de France de foot, franchement j’y pense mais c’est loin d’être acquis parce que je pense qu’à Tokyo, ils ont du mal à faire l’équipe avec certains joueurs qui ont refusé d’y aller. »
Il y a deux ans, les équipes de Ligue 1 avaient pour la plupart refusé de laisser filer leurs joueurs, poussant alors le sélectionneur olympique à revoir sa liste pour la compétition. Une déconvenue qui avait conduit la France à son élimination dès les phases de poule. « À Paris, ils ne vont pas avoir de mal à trouver les joueurs qu’il faut, a admis Savanier, 31 ans. À Tokyo, ils nous ont envoyés un peu au casse-pipe, mais je n’ai aucun regret », raconte Téji Savanier.