En manque de temps de jeu et en quête d’un nouveau challenge après le PSG, Keylor Navas intéresse Al-Nassr, club de Cristiano Ronaldo.
Désormais barré par la concurrence de Gianluigi Donnarumma, Keylor Navas a disputé une seule rencontre cette saison, en 32e de finale de Coupe de France. Désireux de changer d’air pour aller se relancer sous d’autres cieux, le gardien de but de 36 ans pourrait rapidement rebondir à l’étranger. En effet, après avoir perdu David Ospina sur blessure, l’entraîneur d’Al-Nassr, Rudi Garcia, aurait demandé à ses dirigeants de recruter le portier du PSG.
D’après le Mundo Deportivo, qui a reçu la confirmation de ses envies d’ailleurs, lors du mercato hivernal, par son entourage, Keylor Navas pourrait rapidement être fixé, puisque le club de Cristiano Ronaldo pourrait profiter de la présence des Rouge et Bleu en Arabie saoudite cette semaine pour entamer les négociations et boucler son transfert. Al-Nassr étant disposé à payer ce qu’il faut pour s’offrir les services de l’ancien gardien du Real Madrid. Toutefois, les choses sont encore loin d’être actées dans cette affaire.
PSG Mercato : Keylor Navas fixe ses conditions à Al-Nassr
Annoncé sur le départ, Keylor Navas veut avoir des garanties avant de vider son casier au Camp des Loges. Mundo Deportivo rapporte en effet que le portier numéro 1 du Paris Saint-Germain n’est pas contre à l’idée de rejoindre son ancien coéquipier Cristiano Ronaldo en Arabie saoudite, mais aimerait avoir la certitude qu’il sera libéré dans six mois si un club européen venait à le solliciter.
« Al-Nassr a manifesté un intérêt initial, bien qu’il n’y ait toujours pas de négociation ferme (…) Le chemin est encore long pour son départ. Le champion de France valorise Keylor Navas comme remplaçant de luxe de Donnarumma et ne veut pas rester seul avec Sergio Rico. Le problème, c’est qu’il y a un conflit d’intérêts parce que le Costaricain ne veut être le second d’aucune équipe. Quelle que soit l’offre financière qu’il pourrait recevoir, il veut également avoir la garantie de pouvoir retourner en Europe dans six mois s’il obtient une bonne offre », explique le journal espagnol. Reste maintenant à savoir comment va se terminer ce feuilleton.