Pour la première de Fabio Grosso sur le banc, l’OL se déplaçait sur la pelouse du Stade Brestois, ce samedi soir. Et les choses se s’arrangent pas les Olympiens.
L’OL battu par le Stade Brestois pour la première de Fabio Grosso
Pour sa première en tant qu’entraîneur de l’Olympique Lyonnias, Fabio Grosso a opté pour des choix fort, notamment dans son onze de départ, contre le Stade Brestois. La première grosse surprise aura été la non-titularisation de Rayan Cherki, laisser sur le banc. Un changement de système a pu être observé pour ce déplacement au Stade Francis-Le Blé. C’est un 4-1-4-1 qui a été aligné, avec une charnière centrale Diomande-Clinton Mata, laissant la recrue estivale Duje Caleta-Car sur le banc.
Cependant, cela n’a pas été suffisant pour stopper les assauts des hommes d’Éric Roy. Une équipe lyonnaise encore trop tendre, à l’image du but encaissé ce soir. En retard sur les premiers ballons et inexistant sur les deuxièmes ballons, les Lyonnais ont facilité la tâche aux Brestois, qui ont su en profiter. Steve Mounié, qui avait trouvé le poteau quelques secondes avant son but, prend le dessus sur un centre de Kenny Lala, qui a eu tout le temps d’ajuster pour trouver son attaquant, afin de placer une tête imparable. Après ce nouveau revers, le successeur de Laurent Blanc a livré ses impressions à chaud.
Les premières impressions de Fabio Grosso
Incapable de gagner le moindre match en Ligue 1 depuis le début de saison, l’Olympique Lyonnais a une nouvelle fois chuté à Brest (0-1) ce samedi, dans le cadre de la sixième journée du championnat. Au micro de Canal+, le nouvel entraîneur des Gones, Fabio Grosso, a décrypté le match de ses hommes. Et le technicien italien reconnaît que sa mission ne sera pas facile à Lyon.
« Effectif limité ? Je n’ai pas encore les moyens pour constater ça. On a des joueurs pour jouer ce match. On n’a pas fait un grand match, mais on a eu des occasions pour rentrer dans la surface. On travaille. Je suis confiant, mais j’ai vu ce soir que ça sera dur. C’est la tête qui fera la différence. Sommes-nous en crise ? Le classement se voit très bien. Il faut assumer, regarder où on est et prendre les responsabilités. Il faut avoir la bonne mentalité. Maintenant, c’est le temps de travailler et pas de parler », a déclaré Grosso.