Au micro de Prime Vidéo, Pierre Aristouy, le coach du FC Nantes, a réagi à la belle victoire de ses hommes face au FC Lorient ce samedi après-midi (5-3).
Pierre Aristouy : « Le plaisir vient avec la victoire »
Le FC Nantes a renversé le FC Lorient au terme d’un match fou et haletant, ponctué par un festival offensif avec un total de huit buts. Les Canaris, avec cinq buteurs différents, ont remporté leur premier match de la saison à la Beaujoire et remontent à la 6e place au classement. De quoi réjouir Pierre Aristouy, l’entraîneur du FCN. « Le plaisir vient avec la victoire. Le football proposé par tous les joueurs nantais ou lorientais est plutôt agréable à regarder. Je dis souvent que le football se sont des émotions positives (…) Avec Matthis et la forme de Mostafa, on est parti sur un 4-4-2.
On savait que Lorient était difficile à jouer avec son 5-4-1 et on voulait leur mettre plus de pression avec deux attaquants (…) Je suis content qu’on mette cinq buts avec cinq buteurs différents, car il est toujours difficile de dépendre d’un homme ou deux. Là, il y a de la confiance, des joueurs qui se montrent sous leurs meilleurs jours. Tant mieux et pourvu que ça dure… », a déclaré le tacticien nantais en conférence de presse avant d’annoncer la couleur pour l’objectif de fin de saison.
Pierre Aristouy vise plus haut que le maintien
C’est un FC Nantes quelque peu remanié qui s’est présenté ce samedi. Matthis Abline faisait son entrée dans le 11, au contraire d’Alban Lafont, encore un peu trop juste pour commencer la rencontre. Et avec la forme actuelle de ses joueurs, le coach des Canaris se veut ambitieux et rêve d’une place dans la deuxième partie de tableau. « La 6e place en forme de revanche ? Il n’y a surtout pas une idée de revanche. Il y a quelque chose qui se met en place et prend du temps.
On essaie de minimiser ce temps, mais c’est une remise en question permanente. On est sur quatre matchs sans défaite mais dès le début de semaine prochaine, on va se remettre au travail. Comme je le répète aux joueurs, il ne faut pas prendre comme une fatalité le fait qu’on joue la deuxième partie de tableau. C’est peut-être une ambition trop importante mais je préfère avoir celle-là… », a ajouté Pierre Aristouy.