Après le FC Metz et l’OM, Clermont a été la nouvelle victime de l’OGC Nice. Inarrêtable, le club azuréen peut adresser une mention spéciale à deux hommes.
OGC Nice : La statistique folle du Gym de Francesco Farioli
Jamais deux sans trois. Vendredi soir, l’OGC Nice s’est à nouveau imposé en Ligue 1 en battant le Clermont Foot (0-1). Une troisième victoire consécutive qui permet aux Aiglons de reprendre provisoirement le fauteuil de leader après 10 journées. L’AS Monaco peut les déloger en cas de succès sur le terrain du LOSC, dimanche.
Au-delà du résultat plus que positif, Francesco Farioli apporte un nouveau souffle à l’équipe. Une statistique folle a été révélée par Opta, confirmant que sa méthode fonctionne à merveille : l’OGC Nice n’a encore jamais été mené cette saison. Un scénario qui avait été aperçu pour la dernière fois… il y a 39 ans. Autrement dit, l’Italien fait des miracles depuis son arrivée. Cela renforce d’autant plus la solidité défensive du Gym, déjà visible avec seulement 4 buts encaissés en 10 matchs. Soit le meilleur bilan parmi les clubs de Ligue 1.
Hicham Boudaoui, l’ange gardien de l’OGC Nice
Francesco Farioli ne réussirait pas sans la direction du club, mais surtout ses joueurs. Parmi eux, on peut évoquer Hicham Boudaoui. Le milieu axial de 24 ans est un véritable ange gardien : sur les 4 fois où il a été titulaire, l’OGC Nice l’a emporté. Mais cela ne s’arrête pas là. Boudaoui se montre également comme un buteur décisif. C’est lui qui a permis aux Aiglons de ramener les 3 points de la victoire de Clermont (0-1) mais aussi de Metz (0-1) il y a 3 semaines.
C’est donc logique que Francesco Farioli l’ait remercié à l’issue de la rencontre face aux Auvergnats : « C’est un joueur qui nous offre de nombreuses opportunités dans la manière qu’il a de se projeter dans la surface. Défensivement, il est capable d’avoir un gros volume, de remporter des duels, et à la fin, c’est exactement ce dont on a besoin pour un milieu » a-t-il expliqué, sous le charme, à travers des propos rapportés par Maxifoot. Les adversaires sont prévenus : il faut se méfier du tandem Boudaoui-Farioli.