Dans un entretien pour la presse, Maxence Caqueret revient sur le début de saison difficile de l’OL. Le milieu explique pourquoi il croit à sa résurrection.
OL : Maxence Caqueret dévoile les raisons d’y croire pour Lyon
Dernier de Ligue 1 après 11 journées, l’Olympique Lyonnais est loin d’être sorti d’affaire. Certes, le club rhodanien possède un match en retard, à jouer sur le terrain de l’Olympique de Marseille le 6 décembre prochain. Mais en attendant, les hommes de Fabio Grosso comptent 4 points de retard sur le barragiste lorientais.
Interrogé par Téléfoot, Maxence Caqueret est bien conscient que la situation est préoccupante. Depuis plusieurs semaines, le milieu de terrain de 23 ans alertait déjà sur des prestations insuffisantes lors des matchs, que ce soit au micro de Prime Video ou Canal +. Cette fois, il est beaucoup plus souriant, confiant après la première victoire de la saison décrochée à Rennes (0-1, 12 novembre dernier). Le joueur a même lancé un message d’espoir aux supporters, affirmant que l’équipe « comprend beaucoup plus » la méthode de travail de Fabio Grosso, l’entraîneur lyonnais.
Les Gones faibles par manque de résultats
« On est plus structuré » appuie Caqueret au micro du journaliste Yassin Nfaoui. Le milieu central se dit prêt à tourner la page du cauchemar de début de saison, et à en lancer une nouvelle plus heureuse. Pour cela, il s’appuie donc sur la méthode Grosso, mais aussi le regain de forme de l’équipe. Plus en réussite, avec un but sur 5 tirs cadrés contre le SRFC, l’OL prend de nouveau confiance.
Selon Caqueret, les mauvais résultats ont pulvérisé le moral des joueurs, dont le sien. Il estime que lorsqu’« on n’est pas là où on aimerait être, forcément les joueurs ne sont pas à leur meilleur niveau ». Lors de la réception du Lille OSC ce dimanche, le natif de Vénissieux va avoir l’occasion de transformer ses paroles en actes. Face à un adversaire qui lutte pour l’Europe (4ème, 20 pts), le club rhodanien peut se tester et prouver que tout n’est pas encore perdu. Une victoire permettrait d’ailleurs aux hommes de Fabio Grosso de quitter la place de lanterne rouge, et de revenir à 2 longueurs du premier non relégable.