Recrue estivale du Stade Rennais, Nemanja Matic pourrait quitter le club breton plus tôt que prévu. Une envie de départ animerait le milieu de terrain pourtant sous contrat à Rennes jusqu’à fin juin 2025.
Stade Rennais : Nemanja Matic, une recrue de top niveau à Rennes
Le Stade Rennais a réussi un gros coup l’été dernier sur le marché des transferts, en faisant venir Nemanja Matic (35 ans) de l’AS Rome à Rennes, pour environ 2 millions d’euros. L’ancien joueur de Chelsea ou encore de Manchester United a débarqué au SRFC avec sa grosse expérience du haut niveau. Soit 154 matchs disputés avec les Blues et 189 avec les Red Devils, dont 251 en Premier League, 98 avec le Benfica (Portugal) et 35 en Serie A italienne.
C’est donc sans souci que le milieu défensif est devenu le patron de l’entrejeu de l’équipe du Stade Rennais, sous les ordres de Bruno Genesio. Il a été titulaire 11 fois en 13 matchs joués en Ligue 1 et 5 fois en 6 rencontres de Ligue Europa. Nemanja Matic a même été décisif dans la phase de poule de la coupe d’Europe, avec 3 passes décisives.
Mercato : Nemanja Matic prêt à quitter le SRFC cet hiver ?
Malgré tout, il ne serait pas épanoui à Rennes. D’après les indiscrétion de Ouest-France, il est contrarié par la situation du club breton, actuel 10e du championnat à la mi-saison. L’international Serbe (48 sélections) espérait jouer le haut du tableau en s’engageant au Stade Rennais, comme il en a l’habitude dans les clubs où il a évolué. Il serait également déçu par le niveau d’exigence de certains coéquipiers, à en croire le quotidien régional. Une autre contrariété personnelle en rajouterait au spleen de Nemanja Matic. Elle serait relative à ses enfants qui n’ont pas pu être inscrits dans une école internationale, alors qu’il en avait reçu l’assurance avant son arrivée.
Tous ces facteurs réunis, L’Equipe indique que son avenir au Stade Rennais semble incertain. Le quotidien sportif annonce qu’un départ du N°21 des Rouge et Noir cet hiver n’est pas à exclure. Matic sera en tout cas l’écoute du marché hivernale, si l’on en croit le média.