Avec une attaque en feu, l’OM a de quoi être rassuré pour le reste de la saison, avec pour objectif principal la qualification en Ligue des Champions. Une ambition qui pourrait bien emmener la direction marseillaise foncer sur un buteur de Ligue 1.
Moses Simon, une piste à explorer pour l’OM
Depuis son arrivée en France, Moses Simon attend toujours de franchir un cap dans la Ligue 1 française. Une étape importante dans sa carrière que l’attaquant nigérian aurait pu aborder l’été dernier. L’Olympique Lyonnais a même pris contact avec le joueur dans le cadre d’un éventuel transfert mais rien n’y fit. Moses finit même prolonger au FC Nantes. Cette saison, même s’il n’a pas des statistiques prolifiques, le Super Eagle prouve encore qu’il reste l’une des premières armes offensives des Canaris.
Il a su s’imposer grâce à capacité à dribbler, sa pointe de vitesse et sa bonne lecture du jeu. Auteur de trois buts et six passes décisives cette saison, Moses Simon s’est montré une fois encore très performant lors du duel entre le FC Nantes et l’Olympique de Marseille, un match perdu par les Canaris (2-0) le week-end dernier. Éblouissant, l’ancien de Levante a impressionné même les dirigeants marseillais, qui pourrait être tenté de l’attirer cet été.
Moses Simon, une bonne affaire pour l’OM ?
C’était lui le premier danger nantais pour Chancel Mbemba et ses partenaires, à qui il a donné du fil à retordre. Rien que pour ses performances, l’international nigérian est réclamé dans un club plus huppé que Nantes. Pour Romain Haering, intervenant dans l’émission « L’OM au Café » sur Le Phocéen, le club devrait tenter le coup cet été.
Selon le journaliste, Moses Simon, qui a un profil peu similaire à celui de Ismaila Sarr, pourrait apporter beaucoup à l’OM, ainsi qu’à plein d’autres clubs de l’élite du football français. Son profil percutant sur le front de l’attaque fait de lui un danger permanent pour les défenses adverses. Cependant, il est difficile d’imaginer Pablo Longoria faire une offre pour le joueur de 28 ans qui a prolongé à Nantes jusqu’en 2026, avec une valeur marchande de 10 millions d’euros.