A quelques heures de la dernière rencontre de cette journée intercalée, on peut dire que l’ASSE est en danger en se rendant à Chaban Delmas et ceci en raison de la faiblesse de son banc et de l’obstination à ne pas le meubler de ses dirigeants et du coach qui l’a récemment de nouveau affirmé et fait la sourde oreille.
Il suffit de regarder le banc des grandes équipes. Ainsi sur le banc du PSG, 3 attaquants de classe : Gameiro, Hoarau, Nênê et je ne parle pas des autres postes ! A Bordeaux, précisément, même chose. Quand s’opère un changement, on s’en aperçoit. Pas à l’ASSE qui l’a montré à l’envie lors de la rencontre contre l’OL. Brandao blessé, il n’y a plus personne. Si, Alonso, qui a tenu quelques poignées de secondes sur le terrain avant de se faire virer. Nicolita : blessé réel ou diplomatique ! Donc pas de coaching + à l’ASSE , à l’heure de jeu. Il s’agit plutôt d’économiser le trio Aubame, Hamouma, Gradel. Et l’orsque on fait rentrer, c’est un ton au dessous.
Contre Bordeaux, demain soir, si les rumeurs d’un forfait d’Aubameyang se précisent, qu’adviendra-t-il ? L’ASSE peut elle avoir des prétentions à jouer l’Europe ainsi ? Que nenni répondons nous. Nous reviendrons ultérieurement sur les enjeux notamment financier et d’image que ces choix négatifs engagent.