Les événements devraient s’accélérer cette semaine à l’OM, puisque la direction du club phocéen s’apprête à rencontrer Paulo Fonseca en vue de boucler sa signature.
Une rencontre est prévue ce mercredi entre l’OM et Paulo Fonseca
Paulo Fonseca sort d’une belle saison avec le LOSC. Sous ses ordres, l’équipe lilloise a terminé à la 4e place de Ligue 1 et est qualifiée pour le tour préliminaire de Ligue des champions. En deux saisons, le coach portugais a démontré ses capacités à mener une équipe vers le sommet et ses résultats à Lille ont attiré l’attention de plusieurs clubs, dont l’OM.
Le président Pablo Longoria apprécie fortement son profil. Après une première tentative manquée l’été dernier, le dirigeant espagnole est revenu à la charge pour sa signature et a fait de Paulo Fonseca sa cible prioritaire pour succéder à Jean-Louis Gasset. Les négociations entre les deux parties ont déjà débuté sachant que le technicien portugais est en fin contrat à Lille.
Le président de l’OM aimerait finaliser sa signature le plus rapidement possible . D’ailleurs, selon les informations de Tuttosport, Paulo Fonseca va rencontrer les responsables marseillais ce mercredi pour discuter du projet du club. Si un accord est trouvé, le Portugais signera un contrat de trois ans avec l’OM. En attendant, rien n’est encore signé, ce qui laisse une fenêtre de tir aux autres courtisans.
Le LOSC et l’AC Milan n’ont pas encore dit leur dernier mot
Face à cette situation, le LOSC s’active pour prolonger le contrat de Paulo Fonseca. Le président du LOSC, Olivier Létang, a déjà formulé une offre de prolongation à son entraîneur en vue de le convaincre de rester. Mais le Portugais se donne un temps de réflexion avant de trancher pour la suite de sa carrière. D’autant, plus qu’il est très sollicité sur le marché des transferts.
L’AS Milan, qualifié pour la prochain Ligue des champions, s’intéresse aussi à son profil. Reste donc à savoir quel sera le choix final de Paulo Fonseca. Pour le moment, l’Olympique de Marseille insiste toujours pour conclure sa signature. En cas d’échec, les responsables phocéens ont déjà d’autres options dans le collimateur.