L’OM a peut-être trouvé son nouvel entraîneur, puisque la piste menant à Sergio Conceiçao avance dans le bon sens. Mais une clause secrète risque de tout chambouler dans ce dossier.
Le divorce entre Sergio Conceiçao et Porto semble inéluctable
L’Olympique de Marseille, sous l’impulsion de Pablo Longoria, s’affaire en coulisses pour trouver son prochain entraîneur. Après plusieurs pistes infructueuses, le club semble à présent se tourner vers Sergio Conceiçao (49 ans). Ce dernier officie actuellement au FC Porto, où il a laissé une marque indélébile en remportant de nombreux titres, notamment quatre coupes du Portugal, dont la dernière a été décrochée le 26 mai dernier.
Le bilan exceptionnel de Sergio Conceiçao au FC Porto a favorisé sa prolongation de contrat jusqu’en 2028. Cependant, des bouleversements au sein du club le poussent vers la sortie, ce qui pourrait bénéficier à l’OM. Les Phocéens ont déjà entamé des négociations avec le Portugais et se montrent très optimistes quant à la finalisation de ce dossier.
De son côté, Sergio Conceiçao est également confiant quant à la rupture de son contrat avec le FC Porto. Un rendez-vous prévu ce lundi avec André Villas-Boas pour régler la question de son futur n’a finalement pas eu lieu, laissant entretenir un point de rupture définitive entre les deux hommes.
L’éditorialiste Adam rapporte en effet qu’il n’y aura plus de rencontre en face à face entre Sergio Conceiçao et André Villas-Boas, ce qui indique un divorce imminent entre les deux parties.
Une clause contractuelle 28 millions d’euros
Les agents de Sergio Conceiçao vont tenter de gérer son départ au plus vite en faveur de l’Olympique de Marseille. Cependant, il existe une clause contractuelle qui stipule que Porto devra verser 28 millions d’euros au tacticien portugais en cas de licenciement, un montant qui complique la possibilité d’un départ immédiat.
Cette clause pourrait ainsi amener Porto à tout faire pour conserver son entraîneur, même si un départ négocié à l’amiable semble désormais la voie la plus probable. Les Phocéens doivent donc rester prudents et éviter de crier victoire trop rapidement, car les négociations peuvent encore connaître de nouveaux rebondissements.