L’ASSE est désormais passée aux mains de nouveaux propriétaires après la vente du club. Désormais ancien propriétaire du club forézien, Bernard Caiazzo lâche une annonce dingue.
Vente ASSE : Kilmer Sports désormais aux commandes
L’AS Saint-Étienne a changé de mains. Le groupe canadien Kilmer Sports, appartenant à Larry Tanenbaum, a annoncé l’acquisition de l’ASSE, marquant la fin de l’ère Bernard Caïazzo/Romeyer et le début d’un nouveau chapitre pour les Verts. La transaction, qui s’est concrétisée après des mois de négociations, a été saluée par une vague d’optimisme.
L’ASSE, qui vient de sécuriser sa place en Ligue 1, peut désormais se tourner vers l’avenir avec confiance. Ivan Gazidis, ancien dirigeant d’Arsenal et du Milan AC, prend la présidence du club, apportant son expertise et sa vision pour le développement à long terme de l’ASSE.
Accompagné de Huss Fahmy et Jaeson Rosenfeld, Gazidis aura pour mission de renforcer les équipes premières, masculine et féminine, ainsi que le centre de formation. Ce changement intervenu suscite beaucoup d’espoir dans le Forez. « Ce qui compte, c’est que les supporters soient heureux avec le club », a confié Bernard Caiazzo à France Bleu.
Bernard Caiazzo très optimiste pour le futur de l’ASSE
Les nouveaux propriétaires ont hérité d’un déficit à combler, mais leur engagement à investir et à promouvoir une gestion saine laisse présager un avenir prometteur pour le club. L’objectif est clair : développer l’ASSE en s’appuyant sur ses valeurs et son héritage, tout en visant la croissance future. « Il n’y a pas seulement que l’argent, il y a beaucoup plus c’est le cœur », a-t-il poursuivi.
Avec des propriétaires solides et une vision claire, l’ASSE pourrait bien s’inscrire dans la lignée des grands clubs européens, tout en préservant l’esprit qui a fait sa renommée. Avec Ivan Gazidis, Huss Fahmy et Jaeson Rosenfeld, « l’arsenalisation » du club stéphanois peut désormais être une réalité et ça, Caiazzo en est convaincu. « C’est une chance que tous les autres clubs qui n’ont pas des actionnaires puissants nous envieront », s’est-il vanté.