Après trois saisons passées en Angleterre, à Watford, Imran Louza, formé au FC Nantes, se retrouve à un tournant décisif de sa carrière. Le milieu de terrain nantais, qui a récemment effectué un retour remarqué en Ligue 1, dispose d’un bon de sortie cet été, et les options ne manquent.
Mercato : L’avenir d’Imran Louza entre l’Espagne et la France
Prêté à Lorient pour la seconde moitié de la saison, Imran Louza a joué un rôle important dans la lutte pour le maintien des Merlus. Bien que l’équipe n’ait pas réussi à se sauver malgré une victoire éclatante contre Clermont (5-0), la contribution de Louza a été remarquable. Il a stabilisé le milieu de terrain du FC Lorient en apportant une nouvelle dynamique à l’équipe, ce qui avait ravivé l’espoir des supporters.
Le retour de Imran Louza en Ligue 1 a été un succès puisqu’il lui a permis de gagner en temps de jeu et en visibilité. Cette expérience était l’une de ses priorités lorsqu’il a choisi de rejoindre Lorient alors qu’il était courtisé par Toulouse FC et le FC Metz. La proximité de Lorient avec Nantes, où réside encore sa famille, a facilité son intégration rapide.
Le FC Nantes tente une approche timide
À 25 ans, Imran Louza n’est plus le jeune joueur qui a quitté le FC Nantes en 2021. Son passage en Angleterre l’a forgé et augmenté son intensité athlétique et sa maturité sur le terrain. Sa saison à Lorient a démontré sa capacité à jouer avec justesse et efficacité, des qualités recherchées par ses nombreux prétendants.
Cet été, malgré quatre ans de contrat à honorer avec Watford, Louza dispose d’un bon de sortie. Le club anglais est ouvert à un prêt ou à un transfert définitif, ce qui offre de nombreuses possibilités au joueur. Les contacts ne manquent pas, notamment en Espagne et en France, où son nom figure parmi les cibles de deux clubs européens de renom.
L’avenir d’Imran Louza s’annonce clairement prometteur et il sera conditionné par ses choix cet été. Sans trop y croire, le FC Nantes serait intéressé par ses services, mais face au standing de ses rivaux sur le dossier, Antoine Kombouaré refuse de bercer d’illusion.