Le PSG continue d’avancer dans sa quête de signer João Neves lors de ce mercato. Le milieu de terrain du Benfica Lisbonne a attiré l’attention de plusieurs grands clubs européens. Mais le Portugais souhaite aussi s’installer dans la capitale française.
Mercato : Le PSG ne lâche pas João Neves
Il est clair que le PSG a fait de João Neves l’une de ses plus grandes priorités au milieu de terrain pour la saison prochaine. Le jeune portugais de 19 ans présente un profil qui plaît à Luis Enrique, qui le veut aussi dans son effectif pour le nouveau projet du club francilien.
Benfica est bien conscient de l’intérêt considérable porté à ce jeune talent et est déterminé à ne pas brader l’un de ses meilleurs talents. Les dirigeants ont fixé sa valeur à plus de 100 millions d’euros et ne montrent aucun signe de changement.
Récemment, le directeur sportif de Benfica, Rui Costa, a clairement indiqué qu’il n’accepterait aucune offre inférieure à 100 millions d’euros, comme rapporté par Record. Malgré le prix élevé, le conseiller sportif Luis Campos et l’entraîneur Luis Enrique restent intéressés et continuent de mener les discussions pour la signature de João Neves.
João Neves convaincu par le projet parisien
Le Paris Saint-Germain mise désormais sur les jeunes talents du football européen et mondial et veut les meilleurs à chaque poste de son effectif. Le nouveau projet est dirigé par Luis Enrique avec le soutien de Luis campos.
Selon Sports Zone, João Neves souhaite rejoindre le club français cet été, après avoir été convaincu par les discours du Portugais et du technicien espagnol. Son agent, Jorge Mendes, soutient cette décision mais insiste sur le fait que le club vend d’abord certains milieux de terrain. Le PSG refuse toutefois de payer sa clause libératoire de 120M€.
Le PSG n’est pas la seule équipe intéressée par l’adolescent, puisque Arsenal et Manchester United sont également sur le dossier. Cependant, le journaliste Ben Jacobs a rapporté qu’aucun des clubs de Premier League ne cherchait à déclencher la clause libératoire de 120 millions d’euros ou n’était sur le point de payer ce montant.