Entre Chancel Mbemba et l’OM, le point de non retour est atteint. Le divorce est total entre les deux parties avec le défenseur central congolais qui est toujours écarté du groupe professionnel. Une situation que dénonce son ancien sélectionneur, Claude Le Roy.
Le calvaire de Mbemba à l’OM : un divorce houleux
L’histoire de Chancel Mbemba à l’Olympique de Marseille a pris une tournure dramatique. Écarté du groupe professionnel et mis à l’écart, le défenseur congolais subit les foudres de Pablo Longoria. Une situation que Claude Le Roy, ancien sélectionneur de la RDC et ancien entraîneur de Mbemba, condamne fermement.
Arrivé à Marseille en tant que renfort de poids, Mbemba s’était rapidement imposé comme un élément clé de l’équipe. Ses performances lui avaient valu la reconnaissance de ses pairs et des supporters. L’arrivée de Roberto De Zerbi a bouleversé la donne. Le nouvel entraîneur n’a pas souhaité conserver Mbemba dans son effectif.
Le défenseur congolais s’est retrouvé relégué dans un groupe d’entraînement à part, loin du groupe professionnel. Les tensions entre l’ancien joueur du FC Porto et la direction marseillaise ont rapidement atteint leur paroxysme. Des incidents disciplinaires, comme des propos déplacés envers un membre du staff ou un refus de se soumettre à des examens médicaux, ont aggravé la situation.
Divorce entre Mbemba et l’OM : Claude Le Roy dénonce un « comportement indigne » de Longoria
Claude Le Roy, qui a suivi de près la carrière de Chancel Mbemba, s’est indigné du traitement réservé au joueur congolais. Pour lui, le comportement de Pablo Longoria est « indigne ». L’ancien sélectionneur de la RDC estime que le défenseur central est un joueur sérieux et professionnel qui ne mérite pas ce traitement.
« C’est invraisemblable d’arriver à une telle situation. Chancel, c’est quelqu’un d’extrêmement facile à gérer, qui est toujours prêt à tout donner. Ce comportement de l’OM à son égard est indigne. Cela m’étonne même de quelqu’un comme Pablo Longoria, une telle attitude. Ou alors ça veut dire qu’il n’y a plus que le fric qui compte et que l’humain, on l’oublie complètement « , a-t-il regretté.