Deux jours après la volte-face de Jean-Michel Aulas dans le dossier Gonalons, l’agent de ce dernier affirme que le joueur avait donné son accord pour rejoindre Naples cet hiver.
Une part d’ombre vient d’être levée sur le transfert avorté du lyonnais. Dans un entretien accordé à RTL mercredi soir, Frédéric Guerra a livré les dessous de l’affaire. Assurant en outre avoir fait le maximum pour conclure l’opération en janvier.
« Tout était OK avec Naples »
« Effectivement, j’avais été approché par Naples l’été dernier. À cette époque, ils m’avaient offert 9 millions pour Maxime (Gonalons). Je leur avait dit que ce n’était pas assez (…). Et puis l’offre est montée à 15 millions. Là, je trouvais que c’était une offre très intéressante (…). Il y avait à la fois un projet sportif et une amélioration financière. Maxime m’a dit qu’il était enchanté d’aller à Naples, j’avais fixé les conditions salariales pour lui… Tout était OK. »
L’agent de l’international français a par la suite expliqué que la décision de mettre fin aux négociations avait été prise par la direction du club rhodanien. Ajoutant par ailleurs que le joueur n’irait pas au clash.
« Il y a eu une fin de non recevoir de Jean-Michel Aulas. Ils ont pris la décision de conserver Maxime en interne, ils avaient leurs raisons (…). C’est le capitaine de Lyon, il ne peut pas avoir le comportement d’un joueur lambda. En plus, il connaît les conditions sportives actuelles de l’OL, c’est le club dans lequel il a grandi. »
Malgré ce transfert avorté, Frédéric Guerra n’a pas écarté l’idée d’un départ de Gonalons l’été prochain.