Le feuilleton entre Sergio Ramos, le PSG et le Real Madrid n’est pas terminé. Le défenseur espagnol n’a toujours pas prolongé son contrat chez les Merengue et la presse ibérique fait état de la volonté de l’état-major parisien de recruter à tout prix le quadruple vainqueur de la Ligue des champions.
Sergio Ramos, cible n°1 des propriétaires du PSG ?
Sergio Ramos a repoussé à plus tard, lundi, les déclarations publiques qu’il devait faire à propos de son avenir, laissant planer un peu plus le doute. Le défenseur du Real Madrid est en négociations avec le club madrilène afin d’obtenir une prolongation de son contrat, qui prend fin en juin 2021. Les désaccords entre les deux parties portent notamment sur la durée de ce nouveau bail. Le Real propose un an supplémentaire à Sergio Ramos, qui en voudrait deux. D’après certains médias espagnoles, dont le quotidien AS, le PSG est très intéressé par le défenseur de 34 ans et aurait formulé une offre mirobolante de trois saisons au joueur, assorties d’un salaire de 20 millions d’euros annuels. Bien plus que les 12 millions d’euros que Sergio Ramos touche au Real Madrid. Mais pour le journaliste José Luis Sanchez, aucune offre formelle n’a été mise sur la table par le PSG.
Florentino Pérez ne s’opposera pas à un départ
Néanmoins, l’état-major parisien à Doha pousserait fort pour la venue de Sergio Ramos, selon les propos de José Alvarez sur le plateau d’El Chiringuito. L’émir al-Thani, propriétaire du PSG, tient personnellement au joueur espagnol, lui qui souhaite de grands noms pour son club. Mais la signature de Ramos au prochain mercato serait dépendante de départs au PSG, notamment celui de Kylian Mbappé, afin que les dirigeants parisiens puissent proposer un contrat conséquent au défenseur du Real Madrid. Le président du club, Florentino Pérez, ne souhaiterait d’ailleurs pas entrer en conflit avec Sergio Ramos et lui laisserait la porte ouverte. Les médias espagnoles révèlent en effet cette petite phrase du dirigeant des Merengue à son défenseur : « Si tu reçois une bonne offre, je comprendrais que tu partes. » À bon entendeur…