Des supporters du FC Nantes se sont constitués en ‘’Collectif nantais’’, pour tenter de racheter leur club si cher. À l’occasion de la rentrée sportive, le directeur général délégué des Canaris, Franck Kita a maintenu la position de la direction. Il persiste et signe : « le club n’est pas à vendre ».
Le FC Nantes « n’est pas vendre », selon Franck Kita
Le FC Nantes a repris le chemin des entraînements, mercredi après-midi à la Jonelière. Antoine Kombouaré et son équipe ont ainsi démarré la préparation de la nouvelle saison. Lors de l’exercice dernier, les Canaris étaient passés par les barrages contre le Toulouse FC (3e de Ligue 2), pour assurer leur maintien en Ligue 1. La fin de saison du FCN avait été marquée aussi par la naissance du ’’Collectif nantais’’, un groupe d’investisseurs locaux, d’anciennes gloires et des supporters du club de Loire Atlantique. Leur objectif ? Réunir des fonds, afin de contraindre Waldemar Kita à leur céder le FC Nantes.
Ce dernier avait clairement répondu à Philippe Plantive (président du Conseil de Proginov, partenaire du club) et Mickaël Landreau (l’un des visages du projet dudit collectif), que le club n’est pas sur le marché. Ce jeudi 1er juillet encore, Franck Kita, fils du propriétaire des Jaune et Vert, par ailleurs DG délégué du club, a réaffirmé leur décision de ne pas céder l’équipe. « Le club n’est pas à vendre », a-t-il répété plusieurs fois, dans des propos rapporté par Ouest-France.
Le fils de Waldemar calme le jeu avec les supporters
Cela fait 14 ans que les Kita sont les patrons du FC Nantes. Et pour le fils, sa détermination ou son engagement à servir le club « est passionnel, charnel ». Pour finir, Franck Kita estime que le moment est venu de mettre balle à terre, après les tensions entre les supporters et la direction nantaise, la saison dernière. « Il faut faire un mea culpa. Je m’excuse, le président s’excuse, on n’aurait pas dû faire certaines choses. Quand c’est comme ça, il y a eu des erreurs des deux côtés, mais on va rester », a-t-il demandé, avant de rabâcher : « le club n’est pas à vendre ».