Vente FC Nantes : Alors que le FC Nantes a assuré son maintien en Ligue 1, le président du club a répondu à Mickaël Landreau pour la vente du FCN.
Vente FC Nantes : Landreau et le Collectif Nantais prêts pour racheter le FCN
Mickaël Landreau, l’une des figures du ‘’Collectif Nantais’’, veut racheter le FC Nantes des mains du prioritaire Waldemar Kita. Il dit être porteur d’un projet regroupant plusieurs partenaires et sponsors du club de la Cité des Ducs, des chefs d’entreprises ou investisseurs locaux, des supporters et d’anciennes gloires. Il avait annoncé une offre du Collectif à Waldemar Kita, au moment opportun. « On est tous les jours un peu plus prêts. S’il vend le club 20 à 25 millions d’euros, on est prêts dès demain », avait fait savoir l’ancien gardien de but du FC Nantes, sur RMC Sport, début mars dernier. Plus d’une fois, le président du FCN lui avait répondu que le club 8 fois champion de France n’est pas à vendre.
Vente FC Nantes : Kita estime que Mickaël Landreau n’est pas sérieux
Relancé par la même radio ce lundi, Waldemar Kita se dit désormais ouvert aux propositions, mais seulement celles qui sont sérieuses. « Si quelqu’un sent qu’il peut porter le club financièrement et assuré et qu’il est meilleur, pas de problème je suis ouvert. Je suis ouvert à toutes les propositions, mais il faut que cela soit sérieux », a-t-il confié au média. Le patron du FC Nantes a ensuite taclé sévèrement Mickaël Landreau et son projet de rachat des Canaris. « On ne vend pas ou on n’achète pas le club par l’intermédiaire des médias. Ce n’est pas sérieux. Je ne suis pas là pour discuter du prix. Si on veut en parler, c’est autour d’une table comme un vrai chef d’entreprise. Certaines choses vont trop loin […]. Ce n’est pas sérieux Monsieur Landreau », a-t-il martelé.
Par ailleurs, Waldemar Kita a rappelé que l’ex-portier des Nantais (1993-2006) l’avait approché il y a 7 ans, afin d’occuper la fonction de président délégué du club de Loire Atlantique. Une proposition que l’homme d’affaires Franco-Polonais avait refusée, car selon lui : « Landreau voulait virer tout le monde, dont son fils, Franck Kita (actuel directeur général délégué) ».