Le Montpellier HSC est sur une série négative, mais pas de quoi s’inquiéter Olivier Dall’Oglio. Sa situation ne sera pas examinée avant la trêve du Mondial.
Montpellier HSC : Olivier Dall’Oglio conforté à son poste jusqu’à la trêve
Le Montpellier HSC n’a gagné qu’un seul match lors des cinq dernières journées de Ligue 1, soit quatre défaites et seulement trois points pris sur 15 possible. Le MHSC est certes 10e au classement du championnat après 10 journées, mais ne compte que 4 points de plus que le premier relégable en Ligue 2, Angers SCO. La situation du club pailladin est donc précaire. Des bruits de couloir laissent d’ailleurs entendre qu’Olivier Dall’Oglio est menacé de limogeage, alors que lui est droit dans ses bottes. Réagissant aux critiques le concernant, il avait déclaré : « Les commentaires ? Il y a longtemps qu’il y en a et on ne les empêchera pas. On a besoin d’avancer, on est au-dessus des commentaires de bas quartier. »
Dans un débat sur la situation de l’entraîneur du Montpellier HSC dans l’émission 100% Paillade sur France Bleu Hérault, il ressort que Laurent Nicollin ne prendra pas de décision concernant le coach de son équipe, avant la trêve de la Coupe du Monde en novembre. Concrètement, Olivier Dall’Oglio a encore cinq matchs devant lui pour redresser la barre des Pailladins, à commencer par celui contre le RC Lens à Bollaert, samedi à 21h. Mais aussi les rendez-vous avec deux grosses pointures du championnat : l’Olympique Lyonnais de Laurent Blanc et le Stade Rennais.
Laurent Nicollin ne transigerait pas sur l’avenir du coach du MHSC
Cette saison, quatre clubs descendront directement en Ligue 2. De ce fait, Laurent Nicollin ne garderait pas un entraîneur dont les résultats conduiraient le Montpellier HSC en division inférieure. Il avait justement fixé le cap en début de saison dans un discours bien clair.
« Pour l’instant, je ne vois pas pourquoi je changerais ou conforterais mon entraineur. S’il n’est pas bon, je le virerai. S’il est bon je le garderai, voire le prolongerai. Si je n’en avais plus voulu, je l’aurais viré au mois de juin. »