Alors que la vente de l’ OL aurait dû être officialisé le 17 novembre dernier, les négociations entre Aulas et John Textor sont au point mort.
C’est un énième rebondissement qui vient prendre place dans ce dossier qui traine depuis de longs mois maintenant. Après avoir été reporté plusieurs fois, la vente de l’Olympique Lyonnais à l’investisseur américain était proche d’aboutir. Le seul document qui manquait pour finaliser le dossier était un accord écrit de la Premier League, où John Textor est actionnaire de Crystal Palace. Mais les toutes dernières informations révélées par Le Quotidien du Sport ne vont absolument pas dans le sens d’une officialisation, bien au contraire. En effet, le média précise que les rapports entre les deux hommes ne sont plus vraiment aussi bons qu’il y a quelques mois. En effet, il est précisé que l’investisseur américain aurait pour but d’écarter Jean-Michel Aulas du club, alors que ce dernier a affirmé qu’il resterait le président de l’ OL pour les trois prochaines années à venir et qu’il y avait un accord à ce sujet entre le président lyonnais et John Textor. À l’heure actuelle, c’est un véritable bras de fer qui est engagé entre les deux hommes et la vente du club est clairement remise en question.
Vente OL : L’opération traîne depuis trop longtemps
Trois dates butoir ont été fixé pour finaliser cette opération, mais aucune n’a été respecté. Initialement prévu le 30 septembre, la vente a été reportée une première fois au 21 octobre pour cause de manquement concernant certains documents juridique. Le 21 octobre, un nouveau report est annoncé, et les dirigeants lyonnais n’hésitent pas à mettre la pression sur l’investisseur américain dans un communiqué, et la troisième date butoir fixé est celle du 17 novembre. Mais jeudi dernier, le club expliquequ’un accord écrit de la Premier League manque à l’appel et que l’opération sera finalisé dans les jours à venir.
Finalement, les jours sont passés, et rien n’évolue positivement. Ce dossier interminable qui agite l’Olympique Lyonnais semaine après semaine semble bien parti pour connaître une issue tout sauf favorable à Jean-Michel Aulas.