Alors que l’OL n’a toujours pas annoncé de recrue cet été, les dirigeants veulent faire jouer leur relation en tentant d’enrôler un jeune milieu en provenance du Brésil.
Mercato OL : Victor Hugo plaît beaucoup à Textor
Alors que le mercato a ouvert ses portes il y a plusieurs semaines, beaucoup de clubs se montrent actifs. Le RC Lens, le Paris Saint-Germain ou encore l’Olympique de Marseille n’hésitent pas à dynamiser le marché. Ce qui n’est pas le cas de l’Olympique Lyonnais, qui a annoncé une vague de départ. Dans une période compliquée avec le passage devant la DNCG de son nouveau président John Textor, le club lyonnais espère tout de même se renforcer d’ici la fin du marché des transferts.
Ainsi, le nom de Victor Hugo a été coché par la direction lyonnaise pour renforcer l’effectif de Laurent Blanc. Milieu de terrain de 19 an évoluant à Flamengo, le jeune compatriote de Neymar a tapé dans l’oeil de la cellule de recrutement des Gones. D’après les informations divulguées par Globo Esporte, le septième de Ligue 1 a déjà pris des renseignements sur Victor Hugo afin de connaître son prix. Sans dévoiler le montant fixé par Flamengo pour son prodige, qui est comparé à Lucas Paqueta, la source auriverde assure que les Gones n’ont pas encore formulé la moindre offre dans ce dossier, où Lyon pourrait profiter du carnet d’adresses de son nouvel homme fort.
Mercato OL : John Textor fait jouer ses relations
Le sucesseur de Jean-Michel Aulas est un homme d’affaires très présent dans le football. Il est aujourd’hui actionnaire majoritaire de plusieurs écuries en Europe, avec notamment Crystal Palace et le RWD Molenbeek ( en Belgique ), mais aussi de Botafogo au Brésil. C’est cette solide connexion brésilienne qui a ouvert la voie aux septuples champions de France pour recruter leur attaquant Jeffinho en janvier passé. Malgré cette connexion, le dossier s’annonce toutefois compliqué pour la formation entraînée par Laurent Blanc. Victor Hugo disposant d’une clause libératoire fixée à 100 millions d’euros, de quoi réfroidir les ardeurs des décideurs rhodaniens, qui vont devoir se plier aux règles de la DNCG.