Toujours en quête d’un grand numéro 9, le PSG ne lâche pas le dossier Harry Kane. Le club de la capitale prépare une offre à même de faire craquer Tottenham.
Mercato PSG : Nasser Al-Khelaïfi insiste pour Harry Kane
À un an de la fin de son contrat, Harry Kane veut quitter les rangs de Tottenham pour rejoindre un club capable de lui permettre de gagner son premier trophée majeur. Par la voix de son président d’honneur, Uli Hoeness, le Bayern Munich a affiché un certain optimisme dans ce dossier, ce week-end. Mais selon le journaliste italien Gianluca Di Marzio, Nasser Al-Khelaïfi ne s’avoue pas encore vaincu dans la course à la signature de l’international anglais. Le spécialiste de Sky Italia explique notamment que le PSG serait prêt à inclure le jeune milieu offensif néerlandais Xavi Simons dans la transaction pour tenter de faire craquer Daniel Levy.
« Il n’y a pas que le Bayern Munich, mais aussi le PSG qui s’active pour Harry Kane. Le club français essaye, en concurrence avec le Bayern, de trouver un accord (difficile) avec Tottenham. Les Parisiens voudraient jouer la carte Xavi Simons. Cela avec évidemment un ajout financier. Mais il n’y a pas que Kane, car le PSG a aussi des contacts avec Jorge Mendes pour deux joueurs portugais : Bernardo Silva et João Felix », rapporte Gianluca Di Marzio. Et pour parvenir à ses fins dans le dossier Harry Kane, le président parisien serait prêt à tout.
Le Paris SG prépare une offre impossible à « refuser » pour Harry Kane
Selon les toutes dernières informations de nos confrères de Foot Mercato, « Paris s’active toujours en coulisse et si les Rouge et Bleu parviennent à convaincre l’international britannique, ils sont prêts à envoyer une offre que Tottenham ne pourra pas refuser ». Le Paris SG cherche donc à trouver un accord de principe avec Harry Kane avant de passer à l’offensive auprès des dirigeants des Spurs avec une proposition à même de faire craquer Daniel Levy, le président du club londonien. Pour rappel, Tottenham attend un chèque d’un montant de plus de 100 millions d’euros pour laisser partir son capitaine.