Le Stade Rennais, à l’image de Florian Maurice, veut se renforcer cet hiver pour pallier ses faiblesses. Deux tauliers du club pourraient en faire les frais.
Mercato Stade Rennais : Christopher Wooh et Warmed Omari vers la sortie
L’heure est au changement pour le Stade Rennais. Après un mercato estival en demi-teinte, qui s’est enchaîné par une dixième place de Ligue 1 après 17 journées, le club breton veut pallier ses faiblesses. Et qui dit faiblesses, dit d’abord défense. Avec 22 buts encaissés, les Rouge & Noir comptent le neuvième meilleur bilan. Pas catastrophique certes, mais pour viser l’Europe, il va falloir se montrer plus solide.
Sans grande surprise, ce sont les cadres défensifs les plus fragiles qui sont susceptibles de partir cet hiver. D’après L’Équipe, Warmed Omari et Christopher Wooh sont concernés. Le premier compte 17 matchs à son actif mais a affiché une certaine fébrilité. On se souvient de sa prestation catastrophique contre le FC Lorient (2-1, 22 octobre dernier), où il avait offert deux buts à ses adversaires avant de sortir à la pause. Il avait été remplacé par… Christopher Wooh, qui sera également mis en difficulté en seconde période. Le défenseur central camerounais n’a disputé que 10 matchs cette saison.
L’attaque également chamboulée cet hiver
Le Stade Rennais aimerait également se renforcer en attaque, malgré 23 buts inscrits en 17 matchs de championnat. Les éléments offensifs du club breton ne sont pas vraiment convaincants, et certains pourraient voir ailleurs compte tenu de leurs performances. Selon L’Équipe, les principaux concernés sont Arnaud Kalimuendo et Ibrahim Salah.
Le but est surtout de commencer une petite révolution au club, alors que les résultats s’améliorent lentement malgré l’arrivée de Julien Stéphan. Étincelant avec les Bleuets, auteur de 3 buts en Ligue 1, Arnaud Kalimuendo dispose d’une belle côte sur le marché. Sa vente pourrait permettre aux Rouge & Noir d’avoir plus de moyens pour recruter. Un souhait ouvertement fait par la direction, et notamment Florian Maurice : « On a besoin de trouver des solutions, on cherche » assure le directeur technique à Ouest-France.