Mercato : L’OM pousse pour un milieu de terrain

L’OM n’en a pas encore fini avec le mercato et continue sa course aux renforts. Avec le milieu de terrain comme un des chantiers prioritaires, le club phocéen ne lâche pas l’affaire pour Valentin Carboni. C’est une demande personnelle de Roberto De Zerbi. 

Mercato OM : Roberto De Zerbi insiste pour Valentin Carboni

L’intérêt de l’Olympique de Marseille pour le jeune footballeur argentin est réel. Le club français le veut cet été et garde le contacte sur le dossier pour un dénouement heureux. Selon Gianluca Di Marzio, Marseille continue de faire pression pour Valentin Carboni.

Pour le joueur de l’Inter né en 2005, les Français recherchent désormais un accord avec les Nerazzurri. Le journaliste italien assure même qu’il y a une confiance dans le succès de la négociation. Cela fait plusieurs jours que l’OM s’intéresse au jeune joueur de l’Inter, une des priorités de Roberto De Zerbi pour ce mercato.

Carboni, de retour du prêt de la saison dernière à Monza, participe actuellement à la Copa America, où son Argentine dispute la finale contre la Colombie. Pendant ce temps, Pablo Longoria et Medhi Benatia continuent de travailler sur le dossier. 

L’OM connaît le prix de Valentin Carboni

L’objectif des Phocéens est de parvenir à un accord pour convaincre l’Inter de laisser filer son milieu offensif. Mais le club des Nerazzurri n’est actuellement pas disposé à envoyer à nouveau Valentin Carboni en prêt après son expérience avec Monza la saison dernière.

Dans Viale della Liberazione, ils sont plutôt disposés à écouter les propositions de transfert définitif. Face à cette option, l’OM sait déjà à quoi s’attendre. Le club italien valorise son joyau à au moins 30 millions d’euros. En janvier, l’Inter avait d’ailleurs refusé 20 millions d’euros de la Fiorentina pour le joueur. 

Le président de l’Inter, Giuseppe Marotta, avait évoqué l’avenir de Carboni ces derniers jours et n’a pas l’intention de prendre de décision hâtive. « C’est notre ressource et notre patrimoine, nous étudierons sereinement toutes les propositions qui ne seraient pas arrivées aujourd’hui », avait-il déclaré.