En ce début d’année 2013, l’OL ne convainc plus à travers ses résultats et son jeu, certainement pertubé par le mercato. C’est un Rémi Garde clairvoyant qui s’est présenté en conférence de presse aujourd’hui.
L’entraîneur des Gones a tenté d’apporter un élément de réponse au moins bien lyonnais, à deux jours du match à Valenciennes pour l’ouverture de la 22ème journée de Ligue 1. Avant, bien entendu, d’évoquer le mercato, un sujet permanent du côté de Tola Vologe.
La période difficile: « J’essaie plutôt de me projeter vers l’avant. C’est dur de trouver des explications. Vous savez le dérèglement est plus facile que de trouver la bonne formule. Il faut se responsabiliser individuellement. Je ne suis plus dans les tests, les formules que j’essaie de trouver sont en fonction des affinités entre les joueurs. L’intérêt collectif prime sur l’intérêt individuel. Certes, les statuts sont différents selon les joueurs mais l’équipe est prioritaire ».
Vendredi lors du match nul contre Evian (0-0), Gomis est sorti sans un regard et aucune poignée de main envers Rémi Garde. Le technicien a réagi: « Les petites tensions ont rapidement été dissipées. Je ne vis pas dans la rancune. Je veux avancer. Ça ne m’a pas fait plaisir, mais ce n’est pas un critère déterminant pour ma composition de vendredi. Je ne suis plus dans les tests, les formules que j’essaie de trouver sont en fonction des affinités entre les joueurs. L’intérêt collectif prime sur l’intérêt individuel. Certes, les statuts sont différents selon les joueurs, mais l’équipe est prioritaire ».
L’incertitude du mercato: « J’imagine que ça n’apporte pas une grande sérénité. Mais j’ai du mal à mesurer à quel point c’est déstabilisant. Jusqu’au 31 janvier, ça peut bouger. Bien sûr que le mercato peut être déstabilisant mais sincèrement j’ai du mal à mesurer jusqu’à quel point ça peut agir sur les uns et les autres ».
En pleine tourmente, c’est un déplacement difficile qui attend les lyonnais, vendredi, puisqu’ils ne se sont plus imposés à Valenciennes depuis quatre ans.