Le PSG semble décidément trop fort pour le Stade Brestois, qui ne parvient toujours pas à inverser la tendance. En Ligue des Champions ce mardi, les Bretons ont subi une lourde défaite (0-3) face aux Parisiens. Pour l’entraîneur Éric Roy, ce revers est logique au vu de la supériorité de l’adversaire.
Éric Roy déçu et frustré après la défaite contre le PSG
Trois matchs, trois défaites : c’est le triste bilan du Stade Brestois face au Paris Saint-Germain cette saison. À chaque confrontation, les Bretons n’ont jamais réussi à accrocher les Parisiens. Pour Éric Roy, cette défaite n’a rien de surprenant, car elle reflète l’exigence du très haut niveau :
« Je n’ai rien à reprocher à mon équipe. Malheureusement, nous avons manqué de réalisme, aussi bien offensivement que défensivement… Dans ces conditions, il est impossible d’exister face à une équipe comme le Paris Saint-Germain. C’est décevant et frustrant. Un score de 3-0, c’est lourd, mais c’est la réalité du haut niveau. Leur victoire est logique. »
⌚️| 𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐭𝐜𝐡 | C'est terminé au Stade de Roudourou, le Stade Brestois s'incline (0-3) face au Paris Saint-Germain dans ce match "aller" de barrage de Ligue des Champions.
— Stade Brestois 29 (@SB29) February 11, 2025
La barre était trop haute ce soir pour les Rouge & Blanc.
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Bien qu’il garde un certain optimisme pour le match retour, Éric Roy préfère déjà se concentrer sur les autres défis qui attendent son équipe, notamment en Ligue 1, avec l’objectif d’une qualification européenne, et en Coupe de France, où un titre reste envisageable :
« Nous allons rapidement nous projeter sur notre prochain match contre Auxerre, qui arrive dans trois jours. Je ne crains pas la fin de la Ligue des Champions, même si certains joueurs seront peut-être déçus. Mais nous avons encore de beaux objectifs en Coupe de France et en championnat. Ce soir, nous avons joué notre chance à fond, mais nous sommes tombés sur une équipe plus forte que nous. Sur un match avec des circonstances favorables, les choses auraient pu être différentes… mais ce n’était pas le cas », a conclu Éric Roy.