Je dis « premiers éléments », il n’y en aura peut être pas d’autres !
Ce qui frappe au premier abord, c’est le rehaussement des couleurs augmenté par la diminution de la taille de la tour Eiffel et ces tonalités sont…So British comme les couleurs du drapeau anglais comme si désormais David Beckham était la seule référence plausible du PSG. On eût pu (!) d’ailleurs styliser sa « face » sur le logo à la place de la Tour Eiffel, comme ces représentations stylisées du visage de la Reine Elisabeth.
La référence à Saint-Germain en Laye (la mention a diminué de taille) reste toujours aussi ésotérique même si on sait que le Paris FC et le Stade St Germain ont fusionné en 1970. Le détail de l’affaire de la fusion est horriblement pdt (prise de tête). Le berceau qui disparaît symbolisait la naissance de Louis XIV à SGEL (Saint-Germain en Laye). On eût préféré qu’un élément graphique symbolisât (!) le lieu de résidence d’un joueur important, par exemple Zlatan ! Parce que le lieu de naissance de Louis XIV, pour un club de foot, excusez moi mais « on s’en tape » !
La fleur de lys qui est restée s’associe fort mal avec la symbolique parisienne ( le nom de Paris, sur le nouveau logo, est devenu « henaurme » par rapport à celui de Saint-Germain) qui est plutôt révolutionnaire. Ce lys royal pourrait être un clin d’oeil aux monarchies des pays du Golfe dont le Qatar.
Rappelons pour terminer que le logo primitif, comme le maillot d’ailleurs, ont été élaborés en partie par le couturier Daniel Hechter, proprio du club de 1973 à 1978.
Tous ces éléments d’analyse n’empêchent pas de souscrire à la doctrine officielle des dirigeants et propriétaires du club qui veulent y voir le logo d’une marque (Paris) qui vaudra cher dans quelque temps. Une sorte de Grands Magasins du Printemps par anticipation !
Isn’t it ! But so british also !