Déjà sur les tablettes du PSG, Bradley Barcola intéresse maintenant Chelsea, qui s’apprête à faire une offre. Mais l’OL ne cédera pas facilement.
Mercato OL : Lyon ne veut pas laisser partir Bradley Barcola
Ce dossier va durer tout l’été. Le jeune ailier lyonnais Bradley Barcola intéresse le PSG depuis l’ouverture de la fenêtre estivale, mais pas que. Puisqu’après Manchester City, Chelsea s’est aussi invité à la table des négociations, d’après le journaliste Fabrice Hawkins. Mais le joueur ne sera pas facile à avoir.
Tout comme Castello Lukeba, Lyon ne compte pas laisser partir sa pépite, à moins de recevoir une offre impossible à refuser. Il y a quelques semaines, les hommes de John Textor ont même refusé une première approche du Paris Saint-Germain à hauteur de 35 millions d’euros. Pour l’heure, aucune véhélité de départ n’a été formulée par l’international Espoirs avec les Bleuets.
L’OL essaye de résister aux sanctions de la DNCG
À cause des sanctions de la DNCG, l’OL se montre extrêmement rétissant quant à un départ de ses jeunes. En effet, Lyon étant sous le coup d’un encadrement de sa masse salariale, les Gones ne peuvent pas dépasser un certain montant, après cumul de tous les salaires du groupe professionel. Il faut donc libérer les plus gros en priorité, afin d’inscrire de nouveaux éléments.
Karl Toko Ekambi par exemple. Avec son salaire estimé à plusieurs millions d’euros annuels, le Lion Indomptable est largement encouragé à partir, contrairement aux jeunes comme Bradley Barcola ou Rayan Cherki, aux largement inférieurs à celui du Camerounais. D’autant plus que la DNCG a interdit de réinvestir l’argent engrangé par un départ.
Les Lyonnais sont donc bloqués avec 8 millions d’euros maximum pour un milieu défensif, un ailier droit, et un remplaçant pour Alexandre Lacazette. Alors la vente d’un élément sportif aussi important que le jeune espoir français serait un véritable cataclysme pour l’OL, qui se retrouverait dans l’incapacité de pouvoir le remplacer.
À ce propos, alors que son départ en Arabie Saoudite était presque acté, Karl Toko Ekambi semble être forcé de faire machine arrière. La faute à une promesse faite puis non-tenue envers un des clubs intéressés par ses services, qui a saisi l’Etat saoudien pour interdire son arrivée dans le pays.