Nommé sur le banc du PSG en juillet passé, Luis Enrique fait rêver le Barça, qui aimerait en faire le successeur de Xavi. La réponse du technicien espagnol n’a pas tardé.
Deco veut absolument Luis Enrique à la place de Xavi
Alors que Xavi Hernandez a déjà annoncé qu’il quittera ses fonctions à la fin de la saison, le directeur sportif du FC Barcelone, Deco, ferait de Luis Enrique son grand favori pour lui succéder cet été.
« Dans un monde idéal, l’entraîneur préféré de Deco est Luis Enrique. Celui qu’ils aiment le plus est l’entraîneur des Asturies, une autre chose est de savoir s’il peut signer ou non parce qu’il a un contrat avec le PSG. Ils aiment les jeunes entraîneurs comme Arteta ou Xabi Alonso. Roberto de Zerbi est également apprécié et ses méthodes sont bien connues.
Évidemment, on a toujours parlé à l’allemande : Flick, Tuchel… La situation économique est ce qu’elle est et elle limite autant qu’elle limite, mais en ce moment, l’entraîneur qu’il aime le plus est Luis Enrique», révèle le journaliste Sique Rodríguez dans les colonnes de la Cadena Ser.
Une rumeur confirmée ce mardi par le quotidien L’Equipe, qui assure qu’il n’est pas impossible que Luis Enrique revienne prochainement à Barcelone. De son côté, le principal concerné semble avoir d’autres projets pour la suite de sa carrière.
Luis Enrique refuse d’abandonner le Paris SG
Dernier entraîneur à avoir remporté la Ligue des Champions au FC Barcelone, Luis Enrique a laissé de bons souvenirs chez les Blaugranas. Pour autant, le technicien de 53 ans ne semble pas vraiment chaud à l’idée de retourner en Catalogne maintenant. En effet, selon les informations obtenues par le journal francilien, le successeur de Christophe Galtier ne cache pas son souhait de s’inscrire dans la durée avec les Rouge et Bleu.
Sous contrat jusqu’en juin 2025, Enrique pourrait ainsi se voir offrir une prolongation si le Paris Saint-Germain fait un excellent parcours en Ligue des Champions cette saison. En Espagne, le journaliste Juan Ignacio Gallardo du quotidien Marca pense toutefois qu’il « ne serait pas étrange qu’un jour » Enrique « revienne entraîner en Espagne. »