Scandale au PSG: Droit de réponse de Tayeb Benabderrahmane

Suite à la publication de l’article intitulé « Scandale au PSG : Menaces et chantage contre Nasser Al-Khelaïfi« , M. Tayeb Benabderrahmane souhaite exercer son droit de réponse et apporter des précisions concernant les éléments figurant dans cette nouvelle plainte déposée par Nasser Al-Khelaïfi.

Droit de réponse de M. Tayeb Benabderrahmane contre leprésident du PSG

Comme un lapin pris dans les phares, Nasser Al-Khelaïfi porte une nouvelle fois plainte contre ceux qui ont l’outrecuidance de l’accuser.

M. Tayeb Benabderrahmane souhaite cependant apporter des précisions concernant les éléments
figurant dans cette énième plainte.

La répétition d’un même mensonge n’a jamais suffi à lui conférer une quelconque forme de vérité.
Les éléments de la plainte rapportés sont en réalité une compilation des éléments de défense égrenés par M. Al-Khelaïfi dans le cadre de toutes les procédures qui l’encerclent.

Quand ceux qui l’accusent ne sont pas des menteurs ou des mythomanes, ils sont désormais des faussaires ou des maîtres chanteurs.

Ce n’est évidemment pas sérieux et cette plainte n’est qu’un ultime contre-feu allumé par le pyromane judiciaire qu’est devenu le président du Paris Saint-Germain.

M. Benabderrahmane tient à rappeler avec insistance que le tribunal correctionnel de Paris a
indiscutablement établi que les propos calomnieux tenus par M. Daniel Riolo dans l’émission « After Foot » du 31 octobre 2022, l’accusant faussement de s’être livré à un « chantage » envers M. Nasser Al-Khelaifi en « constituant des dossiers (…) dans le but d’extorquer de l’argent », ont gravement porté atteinte à son honneur et sont diffamatoires.

Il est nécessaire de souligner que M. Benabderrahmane n’a jamais été mis en cause ni même inquiété pour des faits de chantage.

Les allégations de M. Nasser Al-Khelaifi sont d’autant plus absurdes et risibles lorsqu’il prétend que le chantage aurait commencé en janvier 2020, alors que M. Benabderrahmane était à cette période séquestré et torturé par son propre cousin, Abdullah Al-Khelaifi, le chef des services secrets qataris.

M. Benabderrahmane poursuivra la défense de ses droits légitimes à travers les procédures qu’il a
initiées pour démontrer le caractère préjudiciable du traitement subi de la part des autorités qataries et de leurs représentants en France et à l’étranger.

Il réaffirme avec fermeté enfin que la vérité prendra du temps à éclater, mais qu’elle sera finalement indiscutable.

Tayeb Benabderrahmane