Une dizaine de jours après le match contre le FC Nantes, l’OL a sanctionné plusieurs supporters dont l’implication directe dans les incidents graves, voire inacceptables, entre groupes ultras a été établie.
OL : 19 interdictions de stade prononcées et 16 plaintes déposées
Les premières sanctions sont tombées après les violents affrontements entre supporters de l’OL. Le club rhodanien a frappé fort en prononçant 19 interdictions de stade et en déposant 16 plaintes à l’encontre des individus identifiés comme étant à l’origine des incidents survenus après la victoire face à Nantes (2-0).
Ces interdictions commerciales de stade, d’une durée allant de 3 à 18 mois, visent des supporters ayant participé aux rixes, notamment en dissimulant leur visage, en portant des armes et en commettant des actes de violence volontaire aggravée.
Les plaintes déposées portent sur des faits graves tels que l’introduction d’armes dans un stade, la violence en réunion ou avec préméditation, ainsi que la violence commise par des individus cagoulés.
Selon l’OL, des personnes extérieures aux groupes de supporters auraient également joué un rôle en attisant les tensions sur les réseaux sociaux et aux abords du stade.
Le club lyonnais poursuit ses investigations et ne compte pas en rester là. D’autres sanctions pourraient être prononcées dans les prochains jours.
Parallèlement à ces mesures répressives, John Textor, le propriétaire de l’OL, s’est engagé à apaiser les tensions entre les différents groupes de supporters.