ASSE Actu : Le mercato de Gazidis sous le feu des critiques, Saint-Etienne à la dérive !

Kilmer Sports Ventures (KSV), le groupe canadien propriétaire de l’ASSE, est vivement critiqué par un chroniqueur du média spécialisé Peuple-Vert. Ce dernier est impatient de juger Ivan Gazidis sur le mercato hivernal.

ASSE Actu : Les investissements de KSV remis en question

Le recrutement estival de l’ASSE a été largement critiqué. Plusieurs recrues, parmi lesquelles Yunis Abdelhamid (37 ans), Lucas Stassin (20 ans), Pierre Cornud (28 ans) ou encore Igor Miladinovic (21 ans), n’ont pas répondu aux attentes du staff technique et des supporters stéphanois. Lors des 14 premières journées de championnat, leurs performances ont été décevantes, mettant en évidence des lacunes importantes.

La nouvelle direction de l’AS Saint-Etienne avait pourtant investi 10 M€ pour s’attacher les services de Lucas Stassin. Malheureusement, en 11 matchs de Ligue 1, l’attaquant belge n’a pas trouvé le chemin des filets.

À l’exception de Zuriko Davitashvili et Pierre Ekwah, les autres recrues des Verts n’ont pas apporté la plus-value escomptée. Et cela se ressent dans les résultats de l’ASSE, actuelle barragiste avec seulement 13 points.

ASSE : Le président Ivan Gazidis à l’épreuve du mercato d’hiver

Conscient de l’échec du mercato estival, Ivan Gazidis, président de l’ASSE, se prépare à rectifier le tir lors de la prochaine fenêtre de transferts. Joss Randall, un observateur attentif, attend avec impatience de voir les actions concrètes de Kilmer Sports Ventures.

« Je n’attends pas de discours, mais des actes », a-t-il déclaré dans le Sainté Night Club. « Nous verrons comment ils vont aborder le mercato d’hiver. »

Joss Randall s’interroge également sur le choix des nouveaux dirigeants d’opter pour des profils de joueurs qui semblent plus adaptés à un projet de long terme qu’à la situation actuelle du club.

« Il y a une certaine incohérence », estime-t-il. « Je crains qu’ils poursuivent dans cette voie, ce qui ne correspondra pas aux besoins d’Olivier Dall’Oglio. C’est un mariage qui ne fonctionne pas. ODO n’est peut-être pas un mauvais entraîneur, mais il n’est pas adapté à ce projet. »