Le PSG travaille sur le dossier Bernardo Silva depuis le mois de mars. Mais Manchester City ne laissera pas son attaquant portugais partir facilement.
Priorité du Paris Saint-Germain pour remplacer Lionel Messi, qui a choisi l’Inter Miami à l’expiration de son contrat le 30 juin prochain, Bernardo Silva a donné son accord à Luis Campos pour un transfert cet été. Après six années passées avec les Skyblues, le milieu offensif de 28 ans veut changer d’air pour s’offrir un nouveau challenge et souhaite rejoindre son ancien compagnon monégasque Kylian Mbappé dans le club de la capitale française. Et ce mardi, le journaliste Santi Aouna de Foot Mercato assure que le conseiller football du PSG est tombé d’accord contractuellement avec Bernardo Silva. Mais l’affaire est encore très loin d’être faite puisqu’il faudra désormais négocier et convaincre Manchester City, qui a déjà refusé une proposition dingue de Luis Campos.
Mercato PSG : Donnarumma et Verratti contre Bernardo Silva ?
En effet, selon les informations divulguées par le média sportif, Luis Campos se serait rapproché de son homologue de Manchester City, Txiki Begiristain, il y a quelques semaines pour tâter le terrain concernant un éventuel transfert de Bernardo Silva. Pour convaincre le récent champion d’Europe, le Paris SG aurait proposé un échange incluant Marco Verratti et Gianluigi Donnarumma contre l’international portugais. Cependant, même si les deux internationaux italiens répondent aux besoins du club allemand, aurait refusé catégoriquement l’offre du PSG. Pour autant, les discussions vont se poursuivre.
Verratti aurait pu remplacer Ilkay Gündogan, en fin de contrat, et il est apprécié par Guardiola. Donnarumma, lui, aurait pu concurrencer un Ederson pas toujours impérial. Dans ce dossier, le champion de Premier League espère récupérer une indemnité de transfert importante selon les dernières informations du journaliste italien Fabrizio Romano. Pour rappel, Bernardo Silva est estimé à 80 millions d’euros par le site spécialisé Transfermarkt. Les décideurs parisiens devront donc certainement se montrer plus convaincants financièrement afin de faire plier leurs homologues anglais.