En quête d’un nouvel entraîneur après le limogeage de Laurent Blanc, l’OL a nommé Fabio Grosso à son poste. Un choix par défaut pour les dirigeants lyonnais.
OL Mercato : Marcelo Gallardo préféré à Fabio Grosso ?
Après l’éviction de Laurent Blanc, les dirigeants de l’Olympique Lyonnais ont multiplié les pistes pour dénicher un technicien capable de redresser la barre. Avant de jeter son dévolu sur Fabio Grosso, le club olympien aurait essuyé le refus de Marcelo Gallardo. Outre les pistes menant à Graham Potter, Oliver Glasner ou encore Gennaro Gattuso, l’OL aurait aussi approché le coach argentin, à en croire les renseignements du quotidien local Olé dans son édition de ce mardi.
Le média argentin assure que l’ancien entraîneur de River Plate aurait bel et bien refusé le projet proposé par John Texto. L’OL peut toutefois se rassurer sur son attractivité : l’ancien milieu de terrain offensif de l’AS Monaco, libre depuis son départ de River Plate, n’a pas dit non qu’aux Gones puisqu’il a aussi recalé l’Ajax Amsterdam, Leeds United et le Villarreal CF.
L’ancien milieu de terrain de l’AS Monaco (1999-2003) et du PSG (2007-2008), Marcelo Gallardo, libre depuis son départ de River Plate, prend son temps avant de tenter une première expérience en Europe. L’Olympique Lyonnais s’est donc rabattu sur Fabio Grosso pour le poste d’entraîneur. Après avoir manqué sa première sur le banc des Gones, le tacticien italien continue de prendre ses marques dans son ancien club.
Fabio Grosso dévoile les axes essentiels de son style de jeu
Dans une émission diffusée sur OLTV, le nouvel entraîneur de l’Olympique Lyonnais s’est livré sur son style de management et sa personnalité en tant que coach. Et Fabio Grosso n’a pas manqué de lancer un énorme avertissement, à peine masqué, aux joueurs qui ne souhaitent pas progresser. « Pour moi ce qui compte au-delà du terrain c’est l’état d’esprit dans le vestiaire. Je suis en train d’organiser tout ça. Je n’aime pas quand il y a trop de règles, mais les règles que l’on met doivent être respectées.
Pour moi, on sort de la difficulté dans un sport d’équipe en étant ensemble », a déclaré Grosso avant d’avertir ses éléments. « Les joueurs qui veulent progresser m’adorent, les autres me détestent. Les choses que l’on décide de faire bien, on doit bien les faire. Après il faut choisir de les faire ou pas (…) Mais avant tout, il faut poser les fondations », a confié le coach de 45 ans.