À l’issue de la défaite de l’OM contre l’OL (1-0), Daniel Riolo a apporté des révélations captivantes sur le dossier Jonathan Clauss.
OM : Jonathan Clauss sur le banc, une décision politique selon Daniel Riolo
L’Olympique de Marseille a connu une fin de mercato agitée, marquée par des tensions autour d’un possible départ de Jonathan Clauss. La direction de l’OM souhaitait se séparer du défenseur tricolore en vue d’alléger sa masse salariale. La volonté de le vendre cet hiver s’est renforcée lorsque le latéral droit a demandé à sortir par précaution lors du match contre l’AS Monaco (2-2). Les responsables phocéens ont accusé le joueur de privilégier ses intérêts personnels à ceux de l’équipe, entraînant un bras de fer entre les deux parties.
La direction de l’OM a tenté jusqu’au bout pour le vendre, tandis que Jonathan Clauss a toujours refusé de partir. Cette posture de l’ancien Lensois aurait-elle agacé les dirigeants marseillais au point de le sanctionner ? Le journaliste Daniel Riolo estime en tout cas que la décision de laisser Jonathan Clauss sur le banc face à l’OL était « purement politique » et dénonce un « cirque » autour de cette affaire.
Le comportement de l’OM envers Jonathan Clauss est incohérent
Daniel Riolo fustige la gestion de l’OM autour de ce dossier. Il qualifie le traitement affligé Jonathan Clauss de « grotesque » et estime que la politique sportive du club est discutable. Le journaliste souligne que, malgré les bonnes intentions, l’OM pâtit d’un déficit de qualité. Il exprime son désaccord envers la gestion du mercato, estimant que les décisions politiques n’ont rien apporté à l’équipe. Depuis la reprise du championnat, l’Olympique de Marseille n’a pas remporté le moindre succès en 4 rencontres, toutes compétitions confondues.
Le comportement de l’OM envers Jonathan Clauss est incohérent, selon Daniel Riolo. Il affirme que lorsque le latéral droit est entré en jeu, il a immédiatement apporté de l’animation sur le côté droit avec des centres et des combinaisons, soulignant ainsi l’erreur apparente de la direction phocéenne. Riolo conclut en soulignant que l’OM, en plus de ses lacunes qualitatives, se tire une balle dans le pied en ne faisant pas jouer ses meilleurs éléments et en s’embourbant dans des affaires de mercato mal gérées.