Une polémique éclate après le match entre le PSG et le FC Barcelone en quarts de finale de la Ligue des Champions. La police a procédé à des arrestations.
Barcelone renverse au le PSG au Parc des princes
Le FC Barcelone et le PSG se sont retrouvés au Parc des princes le mercredi 10 avril 2024 pour le compte du match aller des quarts de finale de la Ligue des Champions. Le match était intense. Le spectacle était beau. Les deux équipes ont livré de belles performances.
C’est l’attaquant brésilien Raphinha qui ouvre le score pour le FC Barcelone à la 37e minute de jeu avec une frappe du pied droit. Le PSG a tenté d’égaliser avant la mi-temps, mais en vain. Le score reste tel à la pause. Au retour des vestiaires, les coéquipiers de Kylian Mbappé se montrent dangereux sur le terrain.
La lumière vient de l’attaquant français Ousmane Dembélé. A la 48e minute, il sonne la révolte avec une frappe sous la barre transversale de Ter Stegen (1-1). Le PSG maintient la pression et inscrit un deuxième but en deux minutes. Vitinha imite Dembélé et envoie une frappe qui fait danser le filet des Barcelonais (2-1).
Le FC Barcelone ne perd pas courage. L’ailier brésilien Raphinha répond aux Parisiens et inscrit un doublé d’une reprise du pied gauche à la 62e minute (2-2). Le technicien du FC Barcelone, Xavi Hernandez opère rapidement quelques changements et a donné de la force à son équipe. Les Catalans inscrivent leur troisième but grâce à Christensen (2-3). Le Barça s’impose finalement et prend un avantage sur cette double confrontation.
Arrestation de supporters du FC Barcelone
Un scandale éclate après ce match spectaculaire. La Préfecture de police a annoncé que deux supporters du FC Barcelone ont été arrêtés. Ils ont été filmés en train de proférer des cris de singe, mais aussi de faire des saluts nazis. « Dans le cadre de la rencontre de PSG-Barcelone, 2 interpellations ont été effectuées par les forces de l’ordre mobilisées dans le cadre du dispositif : apologie de crime de guerre et injure publique à caractère raciste », a annoncé la Préfecture de police.