Malgré un contrat courant jusqu’en juin 2028, Rodrygo pourrait ne pas s’éterniser au Real Madrid. Le club madrilène pourrait sacrifier l’attaquant brésilien l’été prochain.
Ancelotti veut chambouler ses plans, Rodrygo sacrifié ?
Avant l’arrivée de Kylian Mbappé cet été, Rodrygo Goes formait un trio de choc avec Jude Bellingham et Vinicius Jr. Meilleur buteur des Merengues en Ligue des Champions la saison dernière, l’attaquant de 23 ans était un élément important du dispositif de Carlo Ancelotti.
Mais l’arrivée de la star française a obligé le technicien italien à évoluer dans un système inhabituel et avec le début de saison en demi-teinte du Real, le successeur de Zinedine Zidane aimerait chambouler ses plans, ce qui pourrait avoir une incidence sur l’avenir de Rodrygo.
En effet, le journal Marca explique que si l’équipe madrilène évolue avec trois attaquants (Rodrygo, Mbappé et Vinicius) en ce début de saison, il pourrait passer à un schéma avec quatre milieux de terrain dans un 4-4-2, qui a fait ses preuves durant l’exercice 2023-2024.
Dans un tel schéma, Ancelotti serait bien obliger de sacrifier l’un de ses trois attaquants, et Rodrygo semble le plus à même de rester sur le banc. Kylian Mbappé et Vinicius étant considérés comme intouchables. Une situation qui pourrait pousser l’ancien prodige de Santos à aller voir ailleurs. D’autant qu’il ne manque pas de prétendants.
Grosse bataille à venir pour Rodrygo Goes ?
En cas de départ, Rodrygo pourrait rapidement rebondir dans un autre top club européen. À la recherche d’un remplaçant à Kylian Mbappé, le Paris Saint-Germain surveille la situation du Brésilien et pourrait formuler une offre si le Real Madrid accepte effectivement de le placer sur le marché dans les mois à venir.
Mais le PSG n’est pas seul sur le coup puisque Pep Guardiola, le manager de Manchester City, serait aussi un grand fan du numéro 11 madrilène. Toujours en Premier League, Liverpool et Chelsea seraient également intéressés. De son côté, le champion d’Espagne en titre pourrait se satisfaire d’un chèque de 150 millions d’euros pour laisser partir le natif d’Osasco.